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Le Projet Transfert

Le « Projet Transfert » est, selon moi, l'une des plausibles explications du phénomène ovni.

Il ne s'agit là bien entendu que de ma théorie personnelle et elle ne saurait engager que moi et non les
participants du réseau de La Centrale Ufologique.

L'idée du « projet transfert » m'est venue, en rencontrant et en consultant des témoins et témoignages de
ce que l'on appel des abductions. Je me suis en effet demandé ce que nous, les humains, ferions ou
plutôt allons faire, lorsque nous allons découvrir à une autre planète.
Mais avant cela je me suis demandé ce qui pourrait nous pousser à explorer l'espace. Après tout,
pourquoi dépenser autant d'argent pour aller dans l'espace, chercher des exoplanètes ?
Ces fameuses exoplanètes ce ne sont pas des planètes potentiellement habitées mais plutôt des planètes
similaires à notre bonne vieille Terre. Cela signifie que ce que nous cherchons actuellement ce ne sont
pas d'autres formes de vie, mais plutôt d'autres planètes qui pourraient accueillir la vie et, plus
précisément, qui pourraient contenir tous les éléments susceptibles de pouvoir nous accueillir.

En effet notre planète, dépend entièrement du bon vouloir de notre étoile, le soleil.
Puisque n'étant qu'une étoile parmi tant d'autres, nous savons d'ores et déjà que cette étoile qui nous est
cher finira un jour par disparaître, emportant avec elle toutes les planètes du système que nous appelons
système solaire. Dans ce cas comment pourrions-nous sauver notre espèce humaine ?
Il me paraît évident pour ne pas dire impossible, que nous ne pourrons jamais construire de vaisseaux ou
d'engins spatiaux suffisamment grand pour pouvoir emporter l'intégralité de l'espèce humaine, végétale et
animale dans l'espace, dans l'espoir de trouver une planète habitable.
D'autant que connaissant l'esprit de l'humain, il est à prévoir que dans pareil cas, il souhaite réaliser une
sélection. Cette sélection, nous la vivons déjà au quotidien, de par le pouvoir financier dont certains
jouissent au détriment du reste de l'humanité.

Si nous souhaitons réellement sauver notre humanité vouée à l'extinction à cause de la disparition de
notre soleil, la seule possibilité qui nous est offerte, est de transporter nos gènes.

Il me semble dangereux pour ces derniers, d'être envoyés dans des capsules par le biais d'une simple
fusée. Il me paraît également évident, que nous ne pouvons pas demander à nos meilleurs scientifiques
de voyager dans l'espace, accompagnés de ses capsules d'adn.
Alors comment pouvons-nous nous y prendre un ?

Nous avons peut-être la réponse dans ce que nous connaissons au sein de l'ufologie, je veux parler de
certains détails décrits par les témoins et victimes d’abductions.
Arrêtons nous un instant sur la description de ce que l'on appel un « petit gris », souvent décrit comme
étant présents lors de ces agressions que d'aucuns qualifient de simples contacts.
Je dois avouer que le physique de ces êtres, m'a toujours beaucoup intéressé de par sa simplicité et
surtout, parce qu'il semble correspondre peut-être un peu trop au physique attendue d'un extra-terrestre.

En effet, pour la « masse », un extraterrestre est nécessairement plus intelligent que nous et, pour
matérialiser cet état, nous allons donc le dessiner en lui attribuant une tête plus grosse que la nôtre.
Bien entendu nous savons aujourd'hui que la taille de la tête ou du cerveau est sans rapport avec
l'intelligence mais nous parlons ici, de la vue générale représentatives des attentes de la masse.
Puisque cet extraterrestre nous est d’une intelligence supérieure, il n'a plus besoin d'utiliser une force
physique, donc, nous allons lui dessiner un corps petit et de préférence mince. En effet, sur terre, nous
considérons qu'une personne svelte est en bonne santé, au contraire d'une personne en surcharge
pondérale.
Pour matérialiser un peu plus cette intelligence supposée supérieure à l'homme, nous n'allons pas lui
dessiner des yeux ordinaires, car il se doit d'avoir une vision de la vie en règle générale, bien plus « large
». Donc, ils seront tous noirs, grand et légèrement inclinés, ceci pour souligner le côté étrange de cet être.
N'oublions pas qu'il s'agit là, d'un extra-terrestre. Nous le doteront donc d'une couleur de peau n'existant
pas sur terre. Dans les années 50, il était vert mais finalement, la couleur grise semble plus approprié à
une réalité acceptable.
Nous allons également lui attribuer une bouche, puisque nous savons que tout être vivant a besoin de se
nourrir. En l'occurrence, n'oublions pas que cet être est censé être plus intelligent donc, certainement de
façon inconsciente, nous n'allons lui donner la faculté de se servir de sa bouche que pour ingurgiter de la
nourriture, donc une légère fente en guise de bouche lui suffira bien. En effet, puisque nous considérons
que nous n'utilisons qu'une petite partie de notre cerveau, il est à prévoir que cet être doté d'une
intelligence incroyablement supérieure à l'homme, utilise un autre mode de communication que la parole,
pourquoi pas ce que nous appelons « la télépathie ».

Nous avons donc là, la description d'un extra-terrestre « attendu » et correspondant à la majeure partie
des cas dit d'abductions.

Si l'on considère que des êtres venus d'ailleurs nous visitent depuis des milliers d'années, nous pouvons
alors imaginer qu'ils ont largement eu le temps de sonder nos attentes, nos craintes et nos espoirs. En
l'an 2000, nous savons créer des robots à l'apparence humaine, nous savons également créer des clones
et nous étudions la possibilité de rendre nos robots capables d'une grande autonomie. De là à imaginer
que d'ici quelques décennies nous allons pouvoir créer des robots totalement autonomes il n'y a qu'un
pas.
Donc il me semble plus que probable, que des espèces dites extra-terrestres, observant nos moindres
faits et gestes depuis des millénaires, ont largement eu le temps de créer de toute pièce, ce que nous
appelons des « petits gris » et que je me permets donc d'identifier comme étant des robots organique.

Cela paraître exagéré mais revenons maintenant à l'une des possibilités que nous avons, pour permettre
à notre humanité de subsister après l'extinction de notre étoile, le soleil.

Nous savons qu'il existe des milliards d'étoiles dans notre galaxie. À l'heure actuelle, nous avons
découvert près de 340 exoplanètes, dans notre galaxie. Nous, la population, ne savons pas pour autant si
la vie dans la forme que nous connaissons actuellement, existe sur ces exoplanètes. Pour essayer de le
savoir, nous envoyons des sondes, ou analysons les images transmises par le biais de nos télescopes.
Envisageons un instant, que l'une de ces exoplanètes puisse détenir toutes les caractéristiques
correspondant à nos besoins vitaux.
N'oublions pas que notre étoile est en passe de s'éteindre et qu'il nous est impératif de trouver une autre
planète au plus vite, sans quoi s'en est fini de la biodiversité dont nous jouissons sur terre.
Grâce aux exoplanètes, nous avons la possibilité de vérifier plusieurs théories concernant notre évolution.
Bien entendu, je pars du principe que nous découvrons plusieurs exoplanètes habitable.

Premier scénario :
Nous découvrons une planète, vierge de toute vie animale. Peut-être en profiterons-nous pour y implanter
les espèces les plus menacées sur notre planète terre.
D'ailleurs, pourquoi ne pas y implanter ces fameuses méduses, censé être l'origine de l'humanité. Par la
suite, nous n'aurions plus qu'à utiliser des satellites, chargé de surveiller la bonne marche de cette
évolution supposée.
Deuxième scénario :
Nous découvrons une planète, vierge de toute présence dite « intelligente », habitée uniquement par des
sorte deux grands dinosaures. De par le fait, cette planète semble propice à l'évolution de la vie
néanmoins, cohabiter avec ces animaux géants risque de nous poser problème. Il nous faut cependant
impérativement trouver le moyen d'habiter cette planète. Si nous ne pouvons pas nous permettre de
supprimer ces fameux dinosaures, nous pourrions certainement réduire leur taille et les rendre quelque
peu inoffensif pour l'humain.
Je laisse le soin à nos savants de manipuler la génétique, comme ils ont su le faire pour nos chevaux,
poneys, lapin et autres animaux miniatures que nous connaissons aujourd'hui.
Une fois ce « problème » résolu, nous pourrions placer sur cette planète, des êtres créés génétiquement,
des bébés éprouvette ou des clones, que nous lâcherions dans la nature à un âge propice à la liberté
d'action et à la survie. Nous savons aujourd'hui que la mémoire d'un individu peut être totalement effacée,
ce qui pourrait être une bonne option dans le cas de ces "humains", que nous aurions livré à eux-mêmes
mais dont il serait impératif d'ôter tout souvenir de leur provenance.
Tout comme pour la première planète, nous laisserions en orbite ou sur un satellite naturel, donc
suffisamment proche, un poste d'observation afin de surveiller l'évolution de cette nouvelle implantation.

Troisième scénario :
Nous découvrons une planète habitée par des êtres dits « intelligents ».
Il est hors de question de nous aventurer sur cette planète habitée, sans prendre le temps d'étudier un
minimum leurs comportements, leurs craintes et leurs attentes mais également leurs croyances.
Entrer en contact avec ces êtres n'est pas chose aisée. Il est impératif de nous assurer au maximum que
nos ambassadeurs ne prendront aucun risque.

C'est la que nous rejoignons ce que nous connaissons en ufologie.

En admettant la possibilité qu'ils aient envisagé l'existence d'autres être dans l'univers, il nous faudra alors
sonder l'imagination collective, afin de, pourquoi pas, créer des robots organique capable d'une
autonomie suffisante, pour correspondre au physique extraterrestre qu'ils attendent ou plutôt, qu'ils
s'imaginent.
N'oublions pas que nous ne venons pas sur cette planète uniquement par goût de l'exploration mais que
nous devons impérativement trouver le moyen de sauver notre humanité ou tout du moins notre espèce.
Si nos caractéristiques physiques correspondent, n'oublions pas que nous venons d'une autre planète et
que nos goûts en matière d'attirance physique divergent, fort heureusement, donc ne pensons pas à nous
accoupler mais plutôt à essayer de mélanger, ou additionner nos gènes.
Mais encore faut-il qu'ils soient compatibles.

Nos « robots génétiques », nous seraient alors d'une grande utilité.


Pour toute étude, il est nécessaire d'avoir des cobayes. Il nous faudra donc prélever certains spécimens
mais il ne serait pas prudent de faire atterrir, en plein jour, une navette contenant certains de nos
scientifiques. Par contre, des robots génétiques, pénétrant au domicile des futurs cobayes afin de les
enlever, en vue d'expérience génétique donc, serait un atout précieux. En effet, s'il devait arriver que l'un
des cobayes se réveil durant son enlèvement, il n'aurait alors pas la possibilité d'identifier de façon
précise ses ravisseurs. Tout au plus pourrait-il mentionner avoir vu un être correspondant à l'image
collective attendue d'un extra-terrestre.

L'utilisation de ces robots organique, nous permet donc d'approcher cette nouvelle espèce, tout en évitant
soigneusement d'être repérés et donc, d’être identifiés comme étant à l'origine de ces enlèvements. Cela
nous permet donc d'étudier leurs caractéristiques génétiques, afin de vérifier la compatibilité avec les
nôtres.

Il nous aurait été facile de supprimer purement et simplement les habitants de cette nouvelle planète,
puisque possédant une technologie hors de leur portée mais nous aurions pris le risque en cas de conflit,
de subir des pertes. Notre objectif n'est pas de détruire mais de sauvegarder notre espèce. La génétique
offre cette possibilité.
Nous pourrions donc, par exemple, insérer ce que nous appelons des implants, dans le corps de ces
cobayes. Par contre il est impératif de les remettre dans leur milieu naturel. C'est à nos implants d'être
suffisamment performant pour ne pas être à la fois, rejetés par les défenses immunitaires de ces victimes,
tout en étant capable d'effectuer les relevés dont nous aurions besoin. Je laisse encore là le soin à nous
scientifiques d'établir les caractéristiques de ces relevés.

Quoiqu'il en soit, il nous faudrait soit enlever à nouveau ces cobayes afin de leur retirer cet implant et d'en
retirer les données soit, réaliser un implant capable d'émettre les données recherchées et de se
désagréger une fois ces données transmises.
Dans les deux cas, après s'être assuré que la compatibilité génétique est effective, nous pourrions alors
envisager de réaliser des implants contenant certaines de nos caractéristiques génétiques.
Ce nouvel implant aura pour fonction de diffuser ce que j'appel « l 'auto- virus ». Son rôle étant de diffuser
progressivement ou en une seule fois, certains de nos composants génétiques.
L'objectif n'est pas de tuer la victime, mais de s'en servir comme diffuseur. Le scénario envisagé avec
cette hypothèse, suggère que la victime implantée, finisse par s'accoupler avec l'un de ses semblables et
que le fruit de leur accouplement donne naissance à un être composé des gènes parentaux à 95 % (pour
donner une fourchette bien entendu aléatoire) et de 5 % de nos gènes.
Ensuite ?
Soit notre mixture est assez puissante pour que ce nouveau-né, lorsque suffisamment âgé pour être
capable de procréer à son tour, transmette également cet « auto-virus » à sa propre progéniture, soit il
sera nécessaire d'enlever cet individu, pour lui inclure à son tour, un implant contenant cette fois -ci une
part plus importante de nos gènes.
Au fil des générations, les individus implantés se transmettent nos gênes sans en avoir conscience et
surtout, sans pouvoir en déceler l'origine.

Bien entendu, il nous sera nécessaire de surveiller l'évolution de la transmission de nos propres gênes.
Pour ce faire, peut-être utiliserons nous des sorte de véhicules de surveillance automatisés, pourquoi pas.
Vous vous dites certainement, c'est bien beau mais qui pourra surveiller sur une période aussi longue ce
dispositif qui n'est pas à la portée de tous.
Et bien, c'est à cela aussi que serviront des robots organique.
Mais il y a une possibilité qu'il ne faut pas écarter : ces robots organique seront dotés d'une intelligence
artificielle capable de s'adapter aux fur et à mesure des situations, donc d'une grande capacité
d'autonomie. Il n'est donc pas impossible que ces robots, puisque manipulant de façon autonome la
génétique, en viennent à désirer devenir également des êtres « vivant » à part entière.

Si cette possibilité est envisageable, si l'on admet également la possibilité que plusieurs planète dans
l'univers sont habitées, si en plus nous estimons qu'il existe d'autres êtres dit « intelligents », alors ce
scénario du « projet transfert », peut-être autant de fois répété.
Cela rend alors probable, puisque nous ne sommes pas en mesure de prédire l'avenir avec certitude, que
des robots organique entrent également en relation avec d'autres explorateurs de l'univers, qui, ayant les
mêmes objectifs que les nôtres et, constatant le savoir-faire de ces êtres, pourraient pourquoi pas,
assister aux diverses manipulations génétiques orchestrées à bord des engins ou de potentielles bases
destinées à cette unique objectif qu'est la survie d'une espèce.

On pourrait penser que cette solution finirait par détruire purement et simplement l'espèce implantée mais
il ne faut pas oublier que tout ceci prend énormément de temps, temps pendant lequel les espèces
cobayes poursuivent également leur propre évolution. Cela signifie que s'ils dépendent également d'une
étoile comme notre soleil, ils en viendront nécessairement à chercher un moyen de sauvegarder leur
propre espèce et, s'ils optent pour une solution similaire au « projet transfert », alors, aucune espèce dite
intelligente ne disparaîtra de l'univers.
Par contre, la question de l'origine, du point de départ, de LA création originelle, restera toujours en
suspens.

Ce scénario, cette hypothèse où théorie peu importe comment on l'appel, ne remet donc pas en cause
l'existence d'un dieu, cela ne met pas non plus des êtres venus d'ailleurs à un niveau supérieur mais cela
mais au contraire toute vie dite intelligente à égalité.

Le « projet transfert » avance uniquement l'hypothèse de l'universalité de la vie.


Comme signalé au début, il s'agit selon moi de l'une des possibles explications de ce que nous pouvons
entendre, lire, connaître ou subir au sein de ce domaine injustement dénigré, qu'est l'Ufologie.

SANCHEZ Ghislain
centrale-ufologique@hotmail.com

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