Le goût d’Hérard
« L’ Une maxime qu’Hérard de Pins a faite sienne et… sans limite ! Entrons dans son Mobilab (comme laboratoire en mouvement), pénétrons dans un monde d’émotions, au cLur initiée en ouverture : une ode aux structures tubulaires de toutes natures, céramique, néon, métal, etc., servie par huit artistes. Puis, ce fut – lors de notre venue – le dialogue entre le photographe Nicolas Delaroche et le graphiste Camille Sauthier. L’exposition en cours, met à l’honneur le duo de designers Thévoz-Choquet – une relation marbre-lumière – et la photographe plasticienne Daniela Droz. Cette dernière nous donne à voir ses graphismes acérés noir et blanc en image « plate » et en 3 D. Et hormis la cité helvète ? Des Luvres de ses poulains exposées au Design Festival de New York, une présence à Londres sur deux événements pour la London Design Week et demain la Chine… Pour preuve, la octroyée à l’Atelier Peekaboo, pour le projet Elle illustre la liaison de segments en acier thermolaqué avec des bulles de verre soufflé argenté ou iridescent : un mariage insolite qui pose question ! Une réponse enthousiaste a été aussitôt fournie par le prestigieux et tout nouveau Shanghai Museum of Glass : il a élu cinq pièces de la ligne pour sa collection permanente ! Une reconnaissance de plus à l’international qui consacre – s’il en était encore besoin – le talent de dénicheur d’Hérard de Pins… Prochaine surprise à découvrir en octobre ? Pour l’instant, c’est encore secret défense !
