Eric Hussenot
Quand vous avez repris la main, vous avez ouvert la galerie à de jeunes artistes contemporains du monde entier... Vous aimez élargir les frontières?
« Etre blasé, c’est la mort ! On est toujours à la recherche d’un nouvel esthétisme, d’un nouvel élan.»
Oui, mais vous savez, dans le domaine de l’art contemporain, on est obligé d’ouvrir les frontières, y compris physiques, car c’est un marché global : impossible de ne vendre que des artistes français à des collectionneurs uniquement français. Historiquement, la galerie a toujours été internationale. A l’époque, les artistes étrangers
