040 GA ET 060 GA: DES PROTOTYPES SANS DESCENDANCE
la fin des années 1940, Renault est bien conscient qu’il est indispensable d’augmenter la puissance de ses moteurs diesel, alors que leurs principes de conception ne permettent pas de dépasser les 500 ch. Face aux difficultés pour y parvenir, Renault tente à son tour d’expérimenter les principes de la turbine à gaz en l’associant à un moteur à pistons libres reprenant les principes des brevets Pescara. Testé dans une centrale EDF et dans des petits bateaux, il est tentant de l’adapter à un engin ferroviaire. Malgré le refus de la SNCF de s’engager dans cette voie compte-tenu du médiocre rendement attendu, Renault décide de poursuivre son projet sur fonds propres, espérant mettre en avant sa faible masse (environ 12 t) à une époque où la consommation élevée de carburant n’est pas rédhibitoire.
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