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L’impression 4D, comment raisonner la forme ?

L‘expression « impression 4D » a été employée pour la première fois au printemps 2013 par Skylar Tibbits, fondateur du Self-Assembly Lab du MIT. Il dévoile lors d’un TED la possibilité d’ajouter « à un matériau d’impression 3D une nouvelle caractéristique, à savoir la capacité de transformation à travers le temps, cette quatrième dimension. Le matériau pourrait changer de forme par luimême, sans intervention humaine quelconque mais simplement par l’effet d’un facteur externe comme la lumière, la chaleur, une vibration, etc.(1) » Ce principe permet la création d’une nouvelle catégorie d’objets imprimés non figés, leur structure fluctue en réagissant avec le contexte et les conditions dans lesquelles elle est placée ; leur morphologie est donc variable dans le temps.

Une fabrication additive… collaborative ?

L’impression 4D utilise des matériaux avancés, dits aussi intelligents, qui répondent à l’influence de stimuli ou d’énergies externes, comme la gravité, les champs magnétiques, l’électricité ou encore l’humidité, pour programmer les actions de l’objet

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