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La tete dans les etoiles
Theo est tout heureux. Au bout de la piste, un Extra 330SC s’avance et va bientot s’elancer. Le jeune garcon d’une dizaine d’annees dechiffre à voix haute le logo qui habille la carlingue: La question etait sensee. La reponse le fut tout autant: En deux phrases, on ne pouvait mieux resumer ce qui unit l’histoire de l’aviation à celle de l’horlogerie; le patrimoine genetique de Breitling. Ca, c’etait avant, regrettent le partenariat avec la patrouille acrobatique Breitling Jet Team. le DC3, beau coucou vintage qui avait effectue en 2017 un tour du monde aux couleurs de l’horloger. Signe supplementaire, en 2018, on a vu surgir un « B » sans ailes sur le cadran de la nouvelle montre vedette de l’horloger. « Scandale! » Voilà qui est un peu promptement assene, car l’horloger reste neanmoins suspendu dans les airs. La signature sans ailes? Il s’agit de celle des debuts, injustement oubliee. De plus, le « B » aile est reapparu sur la collection revisitee depuis. Pour le reste, Breitling demeure chronometreur de la compagnie aerienne Swiss. Et si la manufacture n’est plus derriere la championne de voltige aerienne Aude Lemordant, elle soutient en revanche Luke Bannister, un jeune Anglais champion du monde de drone. L’horloger sponsorise encore l’astronaute americain Scott Kelly et la pilote de chasse espagnole Rocio González Torres. La s’accroche donc toujours au poignet des voyageurs du ciel. La marque a rogne un peu ses ailes pour des raisons budgetaires, mais cela lui a permis d’aller faire un tour à la plage, en soutenant notamment Kelly Slater, surfer vedette australien.
