… Hollywood
Sans doute fallait-il être, comme le chef d’orchestre, arrangeur et compositeur Carmen Dragon (1914-1984), un pur Californien pour concevoir ces concerts qui alternaient, », « », « », « », « », « », « », « », etc. On y trouve, alors bien vivants, Grofé, Copland, Morton Gould, Barber, Khatchaturian, mais aussi Foster, Porter ou Romberg. La tonicité de la pulsation, le punch rythmique, le métal rutilant du son s’allient à des cordes évoquant irrésistiblement « l’usine à rêves » , dont étaient issus bien des musiciens de Dragon (qui dirigea et composa nombre de musiques de films). Ses arrangements sont aussi habiles que joyeux : le bouquet d’« » ne s’interdit rien (« », « » !). Mais le diamant demeure l’anthologie « », dont les orchestrations en laisseront plus d’un incrédule (la …). Scribendum semble avoir copié les rééditions en CD existantes (Emi, Angel… japonais pour certains) et repiqué quelques LP. L’indigence de l’appareil éditorial (précisons que le pianiste est Leonard Pennario) importe moins que l’absence des irrésistibles visuels d’époque…
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