Le jardin qui fait écho à l’église
Au pied de la maison prieurale du XVII siècle, blottie contre l’église de la Nativité de la Vierge datant pour partie des XII et XIII siècles, et pour une autre, des XVII et XVIII , les pierres parlaient plus que le jardin quand Hélène Assenmaker a repris les lieux, en 1986. Dans celui-ci, se trouvait, certes, une glycine aussi remarquables l’un que l’autre, deux gros buis et un althéa, le cognassier, un vieux poirier et un colimaçon de pivoines, assez de plantes, finalement, pour rappeler le jardin de curé, mais aucune ligne ni circulation. Juste une pente en herbe devant la maison et un petit terrain plat à la suite. Alors, ce furent les pierres qui l’emportèrent et qui donnèrent le ton, elles qui invitèrent à la création du petit jardin « à la française » d’aujourd’hui.
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