FANTASTIQUE MADE IN FRANCE

Longtemps méprisé en France, le cinéma de genre trouve dans la jeune génération de réalisateurs de surprenants prophètes qui s’en emparent sans complexe. C’est une tendance qui se dessine depuis quelques années et s’affirme encore davantage avec les sorties attendues dans les prochains mois de La Nuée, de Just Philippot ; Teddy, de Ludovic et Zoran Boukherma (prévu le 10 mars) – tous deux prétendant à un prix aujourd’hui au festival de Gérardmer (lire ci-contre). Il y a aussi Comment je suis devenu super-héros, de Douglas Attal (le 21 avril), Ogre, d’Arnaud Malherbe, ou encore Le Calendrier, de Patrick Ridremont.

Communément, on les regroupe sous une appellation au singulier ramasse-tout (le genre) alors qu’ils sont pluriels : science-fiction, fantastique, anticipation, horreur, avance Manuel Chiche, président de The Jokers, distributeur et coproducteur notamment de et de .