LE SOMMEIL… Pas vraiment un long fleuve tranquille
La plupart des biologistes, il y a encore 80 ans, considéraient le sommeil comme une simple mise sur pause de notre cerveau, où rien d’important ne survenait… Puis arrivèrent les technologies permettant de l’étudier, dont l’électroencéphalographie (EEG) qui mesure l’activité cérébrale sous forme d’« oscillations » de hauteurs (« amplitudes ») et d’espacements (« fréquences ») variables. Et peu à peu, « le sommeil s’est avéré être un état très actif, constitué non pas d’un seul bloc,détaille Aurore Perrault. Activité cérébrale, mais aussi respiration, rythme cardiaque, mouvements des yeux…, lors des différentes phases du sommeil, de nombreux paramètres fluctuent. s’enthousiasme le Dr Rey. Détails.
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