Comment Burger King veut traverser la crise
Si les 210 000 restaurants français font partie des plus grandes victimes de la crise sanitaire, toutes les filières dépendant de ce secteur en subissent aussi les conséquences. Au premier chef celle de la pomme de terre. Plus de frites, de gratins dauphinois, de tartiflettes, ni de purée sur les tables des établissements, interdits d’ouverture. Et la consommation maison ne suffit pas, loin de là, à compenser la chute des explique Jérôme Tafani, patron depuis 2016 de Burger King, la chaîne gérée en France par le groupe Bertrand (Lipp, Léon de Bruxelles, Hippopotamus, l’hôtel Saint James…). Alors, ce professionnel de la restauration rapide, diplômé de l’Essec, qui a passé dix-huit ans chez McDonald’s France avant de rejoindre l’enseigne Chipotle en 2015, a décidé de venir à la rescousse de la demi-douzaine de groupements et coopératives du tubercule.
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