La guerre au temps du Covid
Rangoun et à Mandalay, les deux plus grandes villes du pays, le même scénario se répète. De jour comme de nuit, des centaines de Bir mans, équipés de bombonnes métalliques, attendent devant les usines de production d’oxygène. Tous espèrent remplir leur bouteille du précieux gaz, afin de soulager un proche atteint du Covid-19, resté à la maison par manque de place dans les hôpitaux. « Beaucoup repartent les mains vides », déplore une habitante de
