JEÛNE INTERMITTENT Comment le pratiquer sans danger
Chez les rongeurs, les bénéfices d’une restriction calorique sont connus depuis une trentaine d’années. Ainsi les souris nourries avec 25 % à 30 % de calories en moins vivent-elles plus longtemps que celles alimentées normalement, et elles développent moitié moins de maladies et de cancers. Mais qu’en est-il chez l’homme ? Les expériences conduites auprès de personnes en bonne santé physique montrent qu’une diminution de plus de 20 % de l’apport calorique quotidien sur de longues périodes, ou de manière répétée, si elle a un effet positif sur certains facteurs de risque cardiovasculaire, peut aussi fragiliser l’organisme et entraver le bon, indique le Pr Valter Longo. Ce gérontologue italien spécialisé dans la recherche sur les mécanismes cellulaires et génétiques du vieillissement s’est fait connaître pour ses travaux sur cette pratique alimentaire. Il poursuit : “
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