LES ATOUTS DU MICRO 4/3 Pourquoi les petits capteurs n’ont pas dit leur dernier mot...
Dernièrement, j’ai surpris mon entourage en faisant l’acquisition d’un Olympus OM-D E-M1 Mark II à capteur 4/3 (17,3x13 mm) alors que je suis équipé en Nikon “Full Frame” (24x36 mm) D850 et D600.
Jusqu’ici, la combinaison d’un capteur 24x36 avec un objectif 24-120 mm f/4 me donnait satisfaction pour le tout-venant. Mais l’ensemble est encombrant, voire bruyant. D’où la tentation de l’hybride, non pas pour remplacer le reflex, mais comme équipement alternatif, capable néanmoins de délivrer des images de qualité professionnelle. Le cahier des charges est simple : compacité, capteur stabilisé, objectifs interchangeables, qualité d’image, vélocité, prix raisonnable. En fait, c’est l’objectif qui a été déterminant et qui a imposé le format 4/3 : l’Olympus Zuiko 12-45 mm f/4. Compact et tropicalisé, il mesure 70 mm de long pour un diamètre de 63,5 mm, et pèse 254 g. Sa plage de focales est équivalente à un 24-90 mm en 24x36. Le piqué est élevé dès la pleine ouverture au centre de l’image comme dans les coins. Son prix neuf à 650€ le rend particulièrement attractif, par rapport à un Zuiko 12-40 mm f/2.8 (1000€) ou un Panasonic
