Le Journal du dimanche

Anne Parillaud « Ma maison est mon refuge »

sourit Anne Parillaud, les mains serrées autour d’une tasse d’infusion, blottie dans un fauteuil du bar feutré de l’hôtel Saint James, à Paris. Au printemps dernier, elle a publié un premier roman fiévreux, (Robert Laffont), qui raconte la relation destructrice entre un homme et une femme brisés par des traumatismes d’enfance. Anne Parillaud s’y est consacrée six ans. Une révélation pour celle qui a du mal à se sentir connectée à la réalité : se réjouit-elle. Dans cette vie d’artiste qu’elle compare à elle se raccroche

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