’il a longtemps évolué dans l’univers du tapis en tant que directeur artistique de La Manufacture Cogolin, puis de House of Tai Ping, entre autres, aujourd’hui, Jean-Pierre Tortil ne se cantonne plus à cet élément décoratif. Car outre ses propres créations, ce qui semble surtout motiver le rythme effréné de son existence (ce dont il se plaint un peu, parfois, mais n’est-ce pas le lot de tous les arrondissement de Paris, au milieu des plus belles agences d’architecture intérieure, des galeries d’art et des antiquaires. Une sorte de laboratoire aux murs recouverts d’onyx, meublé de quelques-unes de ses créations aux lignes fortes, généreuses et épurées. Puis, dans le cadre de « Cahiers d’artistes » – deux collections capsules élaborées sur un thème et lancées deux fois par an –, Atelier Tortil a édité la première gamme de tapis de Charlotte Biltgen (diplômée de l’école Camondo et qui a fondé sa propre structure en 2014). explique Jean-Pierre Tortil,
Atelier Tortil, la fibre des rencontres
Jan 21, 2022
2 minutes
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