Plus on parcourt les romans de Julia Deck plus la filiation est frappante. Depuis son premier roman , chronique endiablée d’une, thriller domestique qui croque sans ménagement un couple de bobos parisiens, en passant par le loufoque roman d’espionnage , elle semble avoir placé son œuvre sous l’égide de Jean Echenoz. Avec le prix Goncourt 1999, elle partage cette liberté narrative presque cinématographique, cette poésie pleine d’ironie et cet amour des personnages et des univers truculents. Des ingrédients que l’on retrouve dans
Grandeur et défaillance
Jan 24, 2022
1 minute
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