“Allez les losers, on se lève et on fait la fête”
GWENDOLINE EST ARRIVÉ À NOS OREILLES PAR “CHEVALIER RICARD”, sélectionné par Jean-Louis Brossard, directeur artistique des Trans Musicales, légende lowcale et véritable saint patron des musiciens rennais, qui les a programmés dès l’écoute de ce morceau tubesque porté sur l’épiphore. Ce “J’en ai rien à foutre” répété tel un mantra définit à merveille l’éthique du duo.
Bruits de bagnole
Avec leur nom en forme de clin d’oeil à: ‘On est vraiment des gros nazes. Vas-y, faut qu’on le dise, faut qu’on fasse une musique dessus’”, s’amuse Micka. Les deux musiciens sortaient d’une décennie passée à tenter de percer dans des groupes pop indé tels qu’Olympia Fields et Constance. Après la dissolution de ces projets, les deux musiciens avaient jeté l’éponge, mais ils avaient besoin de dire des choses. Là où les précédents projets du duo étaient laborieux dans leur désir de coller au cahier des charges des tremplins pop, le projet Gwendoline est né d’un coup de tête: “” se souvient Pierre. En mode “do it yourself”, le binôme monte son installation minimaliste (“”) et se lance. “” se remémore Pierre. “”