
Quatre-vingt-dix ouvrages composent mais quelques lignes suffisent pour comprendre le regard que Balzac portait sur sa ville d’adoption, relevées dans l’incipit de affirme leur auteur après avoir qualifié les Parisiens de dont l’apparence n’est que le reflet des mœurs et de l’âme d’une ville assimilée à un où l’on reste pour Malgré le sombre portrait qu’il enfasciné par sa fébrilité, son fourmillement, admirablement rendus sur le papier :