Reims, sur la place Oudinot, on peut voir la brigade travailler dès potron-minet. Ça taille, ça marine, ça rissole, ça braise. Pour Kazuyuki Tanaka, la gestuelle déployée en cuisine évoque d’abord celle de son père, cuisinier dans (qui a de la saveur, NDLR) umami commente la journaliste culinaire Chihiro Masui, autrice du livre . Pour autant, Kazuyuki Tanaka dit moins intellectualiser ses recettes que les façonner à l’instinct. Les plats, une quinzaine, qui composent son menu Daisuki (« adorer », en japonais) trouvent ainsi leur essence dans le travail de la terre de Champagne. A fortiori dans celui des vignerons avec lesquels sa cuisine tisse des liens sensibles et justes.
Le bon à la racine
Apr 01, 2022
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