omme l'explique l’écrivain, « ». La paix est une parenthèse pleine de souffrances et de malheurs entre deux boucheries, c'est en d'autres mots une guerre plus sournoise car sans éclats d'armes mais pleine de larmes. Céline devint médecin par amour pour la fille du directeur de l’école de médecine de Rennes. Plus tard, l’écrivain fournit une » Très romanesque plaidoyer en faveur d'Ignace Philippe Semmelweis, grand obstétricien austro-hongrois incompris en son temps au point de devenir paranoïaque et violent, sa thèse de médecine est un premier trait d'union entre ces deux mondes qui l'occuperont sa vie durant : la médecine et l’écriture.
