Jonathan Jeremiah
Dès les premières notes du titre d’ouverture, nos âmes et nos cœurssur les émeutes de Brixton en 2011) qu’à l’âge d’or de la soul music. Chœurs féminins à l’unisson, guitare sèche et peaux de batterie mate, on se croirait projeté en pleines seventies dans un album de Bill Withers ou de Terry Callier. Mais, dans cet objet écrit à Bordeaux, on ne manquera pas de sentir l’influence à peine masquée de du temps où Charlotte Gainsbourg était encore dans le ventre de sa maman mais bien sûr la pochette du disque (). Notre doudou du mois.