e soir-là, Javier Álvarez n’imaginait pas que l’attendait. Quand cet économiste nicaraguayen de 67 ans, hostile au pouvoir, a appris que la police venait de débarquer chez sa fille et son gendre à Managua, il a éteint son téléphone, jeté sa carte SIM et cherché un moyen de passer au Costa Rica voisin. Une heure après, à 22 heures ce 13 septembre, une autre patrouille frappait à laraconte aujourd’hui Javier Álvarez, depuis son exil.
Au Nicaragua, la répression délirante du régime
Oct 02, 2022
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