hez les voisins de l’Iran, face aux caméras, le soulèvement à Téhéran n’existe pas : aucun prince d’Arabie, aucun émir du Golfe n’ose évoquer en public ces manifestations qui font vaciller leur pire ennemi. Depuis la mort de Mahsa Amini le 16 septembre, cette jeune Kurde tuée pour un voile mal ajusté, la colère gagne toutes les strates de l’Iran. Après une révolte surtout féministe, ce sont désormais les étudiants, les lycéens, les professeurs et même certains ouvriers
Après l’Iran, le spectre de la contagion de la révolte
Oct 19, 2022
3 minutes
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