La question n’est plus de savoir s’il y aura une dissolution, mais quand. Six mois après la réélection d’Emmanuel Macron, et un peu plus de quatre après son échec à conserver une majorité absolue à l’Assemblée nationale, le caractère inéluctable, à moyen terme, d’une telle opération ne fait plus aucun doute. « Dans l’écosystème majoritaire, c’est dans l’air », confirme un habitué de l’Élysée. Délicat euphémisme. Car du côté de Renaissance, tout est prêt. Dans les moindres détails.
Le sujet a d’ailleurs été abordé jeudi au bureau exécutif du mouvement présidentiel. a assuré le numéro un, Stéphane Séjourné, avant d’indiquer queUn, avec indiquant précisément, jour par jour, les étapes de l’opération, est même déjà établi.