’est une éducation. Ou plutôt un nouveau logiciel à installer dans son cerveau : le masculin-féminin, c’est fini. Trop réducteur. L’identité se pense désormais comme une nébuleuse de genres. Il suffit de sortir en ville pour observer quantité d’apparences que les Anglais appelaient autrefois « freaks » (« bizarre »). Crâne rasé comme un boxeur mais maquillé comme une
C’EST LA VIE
Nov 10, 2022
2 minutes
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