Il y a quelques jours, Gad Elmaleh faisait le show à Montréal devant 7 000 personnes pour la dernière représentation de son spectacle « D’ailleurs ». En mars 2021, Delphine Horvilleur signait « Vivre avec nos morts », une ode à la vie qui a rencontré un succès fou. Le premier fait rire quand la seconde écoute et conseille. Ensemble, ils partagent l’art de la vanne, une curiosité insatiable et une certaine boulimie pour les projets… À chacun son défi : Delphine Horvilleur vient de publier « Il n’y a pas de Ajar », où elle convoque dans un monologue Abraham Ajar (fils d’Émile Ajar) pour questionner sur l’obsession identitaire, quand Gad Elmaleh dévoile dans un film qu’il réalise sa fascination pour la Vierge. Il y joue son propre rôle, celui de Gad, de retour chez ses parents après trois ans aux États-Unis, où il a vécu le rêve américain. Il vient retrouver une femme : la Vierge Marie. Mais comment avouer ce secret à sa famille juive séfarade originaire du Maroc ? Au casting, ses parents, sa sœur, Judith, le père Barthélemy, et Delphine Horvilleur. Nous avons réuni ces deux passionnés pour parler de religion.
Paris Match. Vous souvenez-vous de votre première rencontre ?
J’ai l’impression de