’est cette PME d’une centaine de salariés qui fabrique désormais ses pizzas en Espagne, où l’énergie est moins coûteuse, quitte à les rapatrier vers la France par camions frigorifiques. C’est ce site normand de Toshiba, spécialisé dans la production d’encre pour photocopieurs, qui voit sa facture quintupler et dont les actionnaires envisagent le transfert aux États-Unis. Voilà, en ce début de quinquennat, un redoute un dirigeant. Sans compter que les fermetures d’usine charrient toujours leur lot de licenciés économiques, et donc de nouveaux inscrits à Pôle emploi…
Délocalisations énergétiques, le nouveau péril
Nov 20, 2022
2 minutes
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