omme beaucoup de festivals et de manifestations culturelles régulières au sens large, Iceland Airwaves a failli ne pas survivre aux multiples épisodes Covid-confinement, risquant ainsi de rayer de la carte un événement vieux de vingt ans. L’édition 2022 a beau avoir décidé de réduire la voilure, limitant la présence de cadors d’envergure internationales à sa plus simple expression (Metronomy), là où il n’était pas rare, jadis, que Björk ou Kraftwerk viennent… y passer une tête. Une édition également ramassée dans siècle, qui n’hésite pas à “vendre” son complexe voisin, Petersen Svítan, et son rooftop en guise d’attraction fatale aux heures et jours de l’année qui s’y prêtent (Gamla Bíó); une église luthérienne à peine plus jeune (Fríkirkjan); tout comme cet autre ancien théâtre devenu salle et café (Iðnó), au bord du Tjörnin, le lac qui paraît comme “planté” au beau milieu de la capitale islandaise.
Le feu sous la glace
Nov 23, 2022
3 minutes
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