«D, avertit l’archéologue et académicien de marine Michel L’Hour, l’un des deux commissaires généraux de l’exposition, pendant longtemps directeur du Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marins (DRASSM), et par ailleurs expert pour l’UNESCO. C’est du reste « » a germé en 2016 dans l’esprit de l’autre commissaire générale, l’archéologue-plongeuse Sabrina Marlier, attachée de conservation du patrimoine au musée départemental Arles antique. Ensemble, ils décident d’élargir la proposition à toutes les menaces pesant sur ces objets naufragés. Le conseil départemental des Bouches-du-Rhône, à qui appartient le musée, donnera son feu vert en 2019. Mais pandémie oblige, trois années seront nécessaires pour rassembler les plus de 300 pièces prêtées par des structures publiques et privées. Dépositaire de tous les biens découverts dans le domaine public maritime
Découvertes et préservation des trésors du fond des mers
Dec 14, 2022
4 minutes
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