La tabula rasa, en architecture, est devenue ringarde à Paris. Désormais, près des trois quarts des permis de construire délivrés dans la capitale concernent des réhabilitations de bâtiments, qu’ils datent du XVIIe siècle, de l’époque haussmannienne ou des années 1970, qu’ils soient classés, admirés ou décriés. « Il n’y aobserve Alexandre Labasse, le nouveau directeur général de l’Apur, l’Atelier parisien d’urbanisme, à la tête – pour quelques jours encore – du Pavillon de l’Arsenal (4).
