ésilience, , développement personnel… Autant d'étiquettes pour finalement définir un même genre? Pas vraiment, car des différences ou plutôt des nuances existent bel et bien. Jorge Semprún ou d'Andreï Makine, que l'on peut tout à fait intégrer dans cette catégorie éditoriale. Tout comme de nombreux écrits de prison, romans d'apprentissage ou encore journaux intimes. Qu'ils soient fictionnels ou non, ces livres apportent un témoignage de vie, une solution face aux accidents et aux tragédies. Il serait donc facile de les considérer comme des « livres qui font du bien ». Là aussi, nuance. Car les fameux (traduits par « livres qui font du bien », même si la formule peine à s'imposer) sont portés sur l'histoire, ils reposent sur les personnages, On revient alors sur le rôle même de l'écriture, central dans la littérature de résilience - puisque ces ouvrages illustrent comment s'approprier les mots, nommer les choses - et constitutif de la démarche psychologique et littéraire.
AU-DELÀ DES GENRES, QUELLES DIFFÉRENCES?
Jan 19, 2023
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