Le blob, vous en avez forcément entendu parler : même Thomas Pesquet en a cultivé à bord de la Station spatiale internationale. Alors, pourquoi pas vous ? Comme chasser le blob sauvage est difficile (croyez-moi, j’ai essayé !), nous vous conseillons d’en acheter un d’élevage. Des sites français, tel adopteunblob.com, envoient par la poste des spécimens de l’espèce la plus connue, Physarum polycephalum, sous forme de #sclérote# (voir expérience 4). L’intérêt ? Ils sont « prêts à l’emploi », et vous pouvez commander des #souches# américaines, australiennes ou japonaises, qui n’ont pas tout à fait le même comportement.
Une fois reçu votre blob de compagnie, reste à vous en occuper. Heureusement, il vous sera livré avec un mode d’emploi.
Chouchouter son blob, c’est du boulot !
La base, c’est de lui assurer. Du réveil à l’alimentation jusqu’au confort de votre blob, elle y explique tout, étape par étape. Une fois ces bases maîtrisées, vous pourrez vous lancer dans les expériences qui suivent sans craindre de tuer votre cher. Il suffira à chaque fois d’en prélever un morceau, avec le gel d’agar-agar sur lequel il se trouve : le reste continuera à se gaver d’avoine comme si de rien n’était !