Il n’est pas rare que, pour respecter sa langue maternelle, on en soit réduit à choisir entre la peste et le choléra.
C’est le cas pour ce « suspense » qui a fait – et fait encore – les beaux jours de quantité de livres et de films nous le rappelle, devrait tout à un mot français du XVe siècle; quand même on prendrait soin de le prononcer à la française, avec une première syllabe plus proche du présent du verbe que de notre argotique son accent British ne plaiderait pas en sa faveur auprès de ceux qui ne craignent rien tant que d’être un jour faits chevaliers de la Carpette anglaise!