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et au milieu coulent les clefs du bonheur: dans la rivière de notre vie dix clés pour l'aimer tous les jours inconditionnellement
et au milieu coulent les clefs du bonheur: dans la rivière de notre vie dix clés pour l'aimer tous les jours inconditionnellement
et au milieu coulent les clefs du bonheur: dans la rivière de notre vie dix clés pour l'aimer tous les jours inconditionnellement
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et au milieu coulent les clefs du bonheur: dans la rivière de notre vie dix clés pour l'aimer tous les jours inconditionnellement

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About this ebook

Et au milieu, coulent les clés du Bonheur
Comment sortir des schémas de notre enfance ? Comment expérimenter d’autres manières de penser, de vivre, d’accueillir les évènements et de les vivre pleinement grâce à nos qualités présentes en nous depuis notre naissance ?
Comment être plus consciemment heureux ?
Ce livre vous apportera des outils nécessaires à la compréhension de vos fonctionnements de vie et surtout comment les utiliser afin de les modifier de manière positive et durable.
Vous pourrez utiliser les outils qui vous plaisent le plus dans l’immédiat et peut être revenir sur d’autres plus tard.
LanguageFrançais
Release dateFeb 8, 2016
ISBN9782322043453
et au milieu coulent les clefs du bonheur: dans la rivière de notre vie dix clés pour l'aimer tous les jours inconditionnellement
Author

Christophe Soccal

51 ans, autodidacte, il a gravi les échelons de l’évolution de carrière afin d’atteindre un poste de Cadre, manageant de grosses équipes avant d’aspirer à comprendre le fonctionnement de cette incroyable machine humaine capable du meilleur comme du pire. Se rendant compte qu’il n’avait pas forcément évolué pour lui et que son propre bonheur ou abondance ne se situait pas dans les « pétro dollars ». Eduqué de manière rigide, il s’est tourné vers le développement personnel afin de modifier ses propres comportements qui ne lui ont pas toujours simplifié la vie. Passionné de PNL (Programmation Neuro Linguistique) Technicien et en formation continue sur les modules de Praticien et Maître Praticien, il réalise là un premier essai sur la transmission de ses outils qui lui ont vraiment permis de changer sa perception de la vie et permis de progresser dans sa recherche du bonheur.

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    et au milieu coulent les clefs du bonheur - Christophe Soccal

    Sommaire

    et au milieu coulent les clefs du bonheur

    Page de copyright

    et au milieu coulent les clefs du bonheur

    Introduction

    DANS LA RIVIÈRE DE VOTRE VIE, 10 CLÉS POUR L'AIMER TOUS LES JOURS INCONDITIONNELLEMENT

    Toutes les clés du bonheur sont en vous ; Pour le reste faites confiance à l’univers. 

    Noémie, Maxime, Caroline, Valentin

    PRÉFACE : 

    Si je n’avais pas eu dans cette vie, ces plaisirs, ces peines, ces douleurs, ces souvenirs et ces expériences, je ne serai pas tel que je suis aujourd’hui et cela ne m’aurait pas construit de la même manière. 

    Aussi je dis un énorme MERCI à l’univers, MERCI à mes parents, ma sœur, ma famille, mes enfants, ma chérie, mes amis, et tous ceux qui n’ont pas croisé ma vie par hasard car c’est grâce à eux que je peux écrire cet ouvrage qui vous permettra peut-être d’ajouter pleins de chapitres palpitants à la vôtre ? Il n’y a jamais de hasard car nous sommes connectés à notre univers et il n’y a que des rendez-vous.

    L’abondance pour moi c’est de pouvoir respirer l’iode de la mer, le parfum des fleurs, l’odeur de la terre et de l’herbe après un orage, observer le ciel étoilé et il y en a souvent en Provence, avoir la chance d’y voir une étoile filante, les bons moments avec mes amis, les fêtes de famille et profiter de la nature. Même en gagnant une somme d’argent qui me catégoriserait dans les « riches »,  je continuerai à admirer les étoiles avec mon application pour découvrir notre univers, continuerai d’adorer  le chant des cigales et le clapotis des vagues sur la plage, profiter d’un pic-nic à la campagne ou d’une balade en canoë car cela n’a pas de prix et pour tout le reste…Je vous laisse le soin de choisir votre abondance.

    Et que dire de mes rencontres avec mes amis de formation en développement personnel comme à Lacanau ou en PNL (Programmation Neuro Linguistique)  qui sont gravés dans mon cœur et ma mémoire. Quelle chance de vous avoir rencontrés… Mais n’ai-je pas provoqué cette chance ?

    Par cet ouvrage, je ne démontre pas des méthodes miracles, je vous propose d’utiliser chaque jour des outils précis pour obtenir une vision et des sensations différentes de la vie. Ces outils ont fonctionné largement au-delà de mes espérances pour moi et pour bien d’autres. Alors pourquoi pas pour vous ! On en entend d’ailleurs parler dans les médias, sur les réseaux sociaux et je les ai compilés pour vous en ajoutant des anecdotes et des manières ludiques de les utiliser. Evidemment vous pouvez en prendre et en laisser et c’est justement là l’objectif d’avoir plusieurs sources, comme une boite à outils dans laquelle on pioche à sa guise.

    Et oui, comme sur une voiture, vous avez le choix d’utiliser les clignotants ou pas et bien dans la vie c’est la même chose lorsque les clignotants vous indiquent que peut-être il y a des outils supplémentaires que vous pouvez utiliser pour aller mieux, à vous de décider si vous voulez les prendre.

    Depuis tout petit, on vous a appris qu’il fallait ou ne fallait pas manger certains aliments et est-ce vrai ? Et que pensez-vous de votre alimentation ? On vous a appris qu’il ne fallait pas fumer et fumez-vous ? 

    Pour les outils de développement personnel, c’est pareil et bizarrement ceux qui croient en ces outils améliorent considérablement leur vie. Et pour les autres ce n’est pas grave puisqu’ils ne savent pas à côté de quoi il passe.

    Ce n’est pas une secte et nombre de philosophies d’entreprises en sont bien plus que le développement personnel. C’est une approche différente qu’on n’enseigne ni à l’école, ni dans le milieu familial pour la plupart. Il y a des pays où l’on vit avec le verbe être car on ne possède rien et des continents où l’on vit avec le verbe avoir : « Avoir une belle situation, une belle voiture, une belle maison, une belle épouse (c’est des fois dans cet ordre-là) des beaux enfants etc.…Et quelques fois une personne aisée se regarde dans un miroir et ne sait plus qui elle est, déprime et cela pouvant aller jusqu’à se donner la mort ! Ces outils sont faits pour vous apporter de la richesse spirituelle et vous rendre compte de vos capacités infinies et ainsi pouvoir vous-même vous apporter du bien-être et de la confiance en vous.

    J’ai pris énormément de plaisir à rédiger cet ouvrage et si un jour je rencontrais ne serait-ce qu’une personne pour qui cela lui a été bénéfique j’en serais très heureux et très fier et cela serait une gratitude et reconnaissance incroyable.

    POURQUOI :

    Si je n’avais pas eu le même parcours, pas la même vie, peut-être n’aurais-je  pas ressenti autant le besoin d’évoluer, de progresser,  d’aller chercher d’autres modèles, d’autres méthodes, de suivre des formations de développement personnel qui depuis 1987 m’ont amené à me découvrir et à découvrir que ceux qui nous entourent ne sont pas « façonnés » forcément comme nous et que le bien et le mal ne sont que subjectivité face à nos valeurs et nos croyances. Croyances dont nous héritons par notre éducation et aussi que nous nous forgeons après durant notre vie sur nos propres modèles.

    Je me dois de vous situer sur quelques lignes, ma vie et ma jeunesse dans cette introduction afin que vous compreniez ce qui m’a amené à vouloir découvrir ces outils incroyables et comment ils m’ont aidé à apprécier ma vie exaltante. Car chez tout bon psychologue, il commencerait à vous inciter à raconter d’où vous venez afin de comprendre qui vous êtes. Et oui, nous sommes le résultat de nos familles, de nos bonnes ou fausses croyances, de nos bons ou mauvais exemples, de nos bons ou mauvais principes. Cela sera un peu romanesque et je suis sûr que chacun de vous pourrait en écrire bien d’avantage. 

    Je vous rassure, j’ai eu pleins de moments magnifiques, d’insouciance de jeunesse aussi surtout à Troyes avec mes amis Patrick, Thierry, Sophie et Linda…

    Je suis né en Normandie, issu d’une famille modeste, où ma maman était fille d’immigrés Catalans et mon père fils de parents d’un petit village de l’Est de la France qui connut que de trop les deux grandes guerres. Mon grand-père maternel, prisonnier politique sous Franco en Espagne, s’est échappé quinze jours avant d’être fusillé franchissant, à pieds, les Pyrénées et arrivant à Perpignan où l’on cherchait des immigrés pour reconstruire les villes de France détruites durant la guerre  mon « yayo » (papy en Catalan) a pris le train pour Caen seul, ma mère, ma grand-mère et mes oncles étant restés en Catalogne et l’ayant rejoint sept années plus tard. 

    Du coté de mon papa, mes grands-parents paternels vivaient pas très loin de Verdun, à Dun sur Meuse, mon père avait sept ans pendant la seconde guerre mondiale. Ma mamie s’occupait de toute la maison,  de couture également et mon grand-père originaire pour lui d’Italie du Nord, a successivement travaillé dans une coopérative de blé puis comme chauffeur pour une laiterie qui ramassait le lait dans les fermes tout en entretenant son jardin et ses « bêtes » afin de subvenir à leurs besoins. Les fraises avaient à elles seules un goût inoubliable…et la tarte au sucre,  une tuerie.

    Chez eux, je me souviens que c’était ma grand-mère qui menait le foyer et lorsqu’elle nous appelait il était inutile de protester, car elle nous regardait alors de ses yeux perçants et ont ne bronchaient pas !

    Mon père a une sœur et d’après ce qu’il m’a raconté, lui, a été plus élevé par ses grands-parents qui vivaient à une vingtaine de kilomètres de chez lui et qu’il parcourait quasiment tous les jours en vélo pour aller les rejoindre. Ma tante, vit désormais dans les Landes profitant d’une retraite bien méritée proche de mes cousins.

    Avec cette éducation stricte par sa maman et ses grands-parents, juste après un CAP en mécanique agricole, il s’est engagé dans l’armée et a effectué son incorporation à Caen où il a rencontré ma maman pendant ses classes. 

    L’armée a évidemment accentué encore plus sa « rigidité ». Ma mère, elle, en arrivant sept années plus tard pour rejoindre son père s’est retrouvée à vivre dans un baraquement en tôle au bord d’un canal car mon grand-père utilisait l’argent que lui envoyait ma « yaya » (mamie en catalan) pour aller au bal ou boire des verres avec des « amies »… Forcément lorsque le reste de la famille est arrivé, il n’y avait plus d’argent, pas de linge, pas de lit, la pauvreté au sens strict du terme. Vivant médiocrement, ma mère, dans sa jeunesse empruntait des livres à la bibliothèque et s’éclairait à la bougie pour les lire afin de voyager dans les pays de ces romans et elle disparaissait de sa misère. Outre une myopie importante, cela lui a peut être amené, cette tolérance, ce goût de l’imaginaire et cette ouverture d’esprit dont elle a toujours fait preuve. Mais aussi ce refus du bonheur qu’elle cultivait sans s’en rendre compte…

    Pour vous situer rapidement l’ambiance selon ma représentation, mon père avait une vision claire de la vie…la sienne ! Certainement forgée par son éducation et de ses propres croyances. On pouvait être autonome mais avec ses règles…Et enfant, pendant longtemps j’ai trouvé normal de dîner avec ma mère et ma sœur dans la cuisine pendant que mon père se faisait servir un plateau dîner devant les informations télévisées en noir et blanc. Toute ma jeunesse j’ai entendu de mon père le message positif suivant « tu ne seras jamais qu’un bon à rien » et j’ai toujours eu le sentiment que mon père préférait ma sœur. Mais qui dans des familles de plusieurs fratrie, n’a pas eu ce sentiment justifié ou pas…Et avec ma vie de maintenant où j’élève ma fille seul, il est possible que ses frères et sœurs pensent la même chose.

    Je n’ai malheureusement jamais entendu un « je t’aime » de mon père et jusqu’à sa mort il m’a fallu le deviner sans l’entendre.

    J’ai peu de souvenirs de cette enfance, peut être comme si je les avais volontairement effacés de mon esprit. Ce dont je me souviens, ce sont des bribes de certains passages dans les nombreuses villes où mon père nous emmenait suite à ses mutations professionnelles.

    Ma ville de Naissance, Caen où nous allions voir mes grands-parents qui habitaient le quartier

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