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Géobiologie de l'habitat et Géobiologie sacrée: Pour un lieu sain
Géobiologie de l'habitat et Géobiologie sacrée: Pour un lieu sain
Géobiologie de l'habitat et Géobiologie sacrée: Pour un lieu sain
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Géobiologie de l'habitat et Géobiologie sacrée: Pour un lieu sain

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About this ebook

Malgré l'avancée des connaissances, la quantité de maladies ne cesse de croître, le nombre de cancers double tous les 20 ans.
Un médecin s'est aperçu, un jour, que dans le même immeuble, les occupants dormant dans le même coin, étaient tous victimes du même cancer. De cette observation est né la géobiologie (biologie du lieu ou études des phénomènes qui affectent les lieux et la santé des occupants).
Elle se distingue en géobiologie de l'habitat ou en géobiologie sacrée lorsqu'elle étudie les phénomène qui entrent en jeu dans les hauts-lieux énergétiques (monts, forêts, sources...) ou sacrés (église, temples, cathédrales...).
Il est illusoire d'être en bonne santé dans un lieu malsain qui affecte ses occupants en permanence.
Les lieux d'habitation sont affectés par des phénomènes de trois origines : naturelles (rivières souterraines, failles, réseaux...), artificielles dues aux inventions de l'homme (électriques, magnétiques, ondes radio, monoxyde de carbone, pollutions...) et métaphysiques (âmes en peine, magie, mémoires des murs, influences...). Connaître ces particularités permet d'apprendre à les déceler, les estimer et à trouver les moyens pour les neutraliser afin de pouvoir réaliser un lieu équilibré et vitalisant pour la santé.
L'étude des haut-lieux énergétiques nous permet d'appréhender les phénomènes naturels vitalisants (vortex, cheminées, flux sacrés...) et les présences de grande énergie (esprits de la nature, saintes présences, archanges...) qui peuvent aussi nous aider.
En apprenant à les percevoir, nous apprenons à connaître le monde réel dans lequel nous vivons et à démystifier et comprendre des êtres et des légendes.
Ce livre est complété de "Bioénergie et sciences occultes"
et de "Harmonisation des énergies des personnes" consacré aux soins de 8 corps énergétiques de l'homme, qui peuvent être tous affectés par des blessures, blocages, liens... et surtout des parasites (esprits des maladies). Ces parasites étant de nature énergétiques sont imperceptibles par les scientifiques qui pensent que l'homme n'est constitué que d'un seul corps physique et oublient le corps émotif, mental, causal, spirituel.
LanguageFrançais
Release dateJul 30, 2019
ISBN9782322098316
Géobiologie de l'habitat et Géobiologie sacrée: Pour un lieu sain
Author

Jacques Largeaud

Jacques LARGEAUD est géobiologue, naturothérapeute, magnétiseur, passeur d'âme, formateur, chercheur. Il exerce depuis plus de 20 ans. Auteur de nombreux ouvrages sur la géobiologie, bioénergie, histoire sacrée, sciences occultes et curothérapie. Cofondateur et responsable de formation en curothérapie. Président de l'Alliance World Association. Il travaille au sein d'un groupe de chercheurs, clairvoyants, clairaudients avec l'aide, les conseils et explications des esprits de la nature, médecins astraux et guides de lumière.

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    Géobiologie de l'habitat et Géobiologie sacrée - Jacques Largeaud

    :

    CHAPITRE 1

    GEOBIOLOGIE de L’HABITAT

    Les énergies de la terre pour avoir un habitat sain.

    Le cancer est une prolifération anarchique de cellules.

    Chaque fois qu’une cellule de tissu humain meure ou est détruite, un ordre, par neurotransmetteur interposé, est envoyé au cerveau, et en retour une nouvelle cellule de remplacement est créée. Cette cellule doit être la même que la précédente, sinon le tissu change de nature. C’est ce qui se passe lors d’un cancer. Une altération dans la transmission ou dans la création de cellules se produit et des cellules anarchiques, différentes, prolifèrent en remplacement des précédentes. Tout a été essayé pour palier à cette défaillance, et les meilleures méthodes « scientifiques » actuelles demeurent celles d’enlever la zone affectée où se produit la prolifération anarchique de cellules ou encore de la brûler par une irradiation, en particulier avec des rayons de type Gamma. La recherche bat son plein...

    Un médecin s’est aperçu un jour, dans un immeuble, que toutes les personnes dormant dans le même coin, les uns au-dessus des autres, étaient toutes atteintes du même cancer, puis, un autre s’est aperçu que, dans un même logement, tous les habitants successifs mouraient les uns après les autres du même cancer. D’autres observations du même genre ont eu pour résultat de faire penser qu’il existe des maisons à cancer, des lieux qui affectent la santé de l’homme très fortement, au point même de le tuer. C’est ainsi qu’est née la notion moderne de géobiologie, c’est à dire de : sciences de la nature (biologie), appliquées au lieu géographique (géo).

    Pour faire des recherches en ce domaine, on a commencé par se poser la question : Que faisaient nos ancêtres vis-à-vis de leurs habitations? Connaissaient-ils des méthodes pour choisir le meilleur lieu ou pour en définir les dangers éventuels?

    Nos ancêtres les « Celtes » pensaient que leurs connaissances étaient vieilles de 12 000 ans. Ce qui correspond à la période décrite par Platon comme étant celle de l’Atlantide, dont la fin a été occasionnée par un gigantesque bouleversement terrestre.

    Les Celtes n’ont pas laissé d’écrits mais des traditions orales, légendes et dictons, transmis de générations en générations et souvent confirmés par les recherches archéologiques et scientifiques. Ils connaissaient bien les secrets de la nature, ne vénéraient pas de statues représentant des dieux mais plutôt des endroits ou des êtres terrestres, des cercles de pierres, des menhirs, des dolmens, des arbres très anciens, en particulier des chênes, et des esprits de la nature régissant les éléments (la terre, l’eau, de feu et l’air). Ils semblaient ressentir les lieux et leurs énergies. En particulier les hauts-lieux terrestres où ils fondaient leurs temples. C’est sur ces mêmes points que furent édifiés par la suite les autres hauts-lieux spirituels, églises et cathédrales notamment. Ils connaissaient et maîtrisaient les énergies de la terre, mais on ne sait pas (officiellement) quelles méthodes ils employaient, outre leur sensibilité personnelle.

    Par la suite arrivèrent les romains. Ce sont eux qui nommèrent le sol où nous sommes « la Gaule » et ses habitants les « Galli », qui devinrent les gaulois dans nos livres d’histoire. Les romains n’étaient pas aussi « sensibles » aux énergies terrestres que les celtes, mais ils étaient plus « scientifiques ». Pour sélectionner un lieu où serait construit un village puis une ville, ils y faisaient paître un troupeau de moutons, puis, au bout d’un certain temps, ils tuaient les animaux et en étudiaient les organes et surtout le foie. S’ils ne connaissaient pas l’origine et la nature des énergies terrestres, en revanche, ils savaient que celles-ci affectent tous les êtres vivants qui résident sur le lieu, de manière positive ou négative. Ils avaient donc déterminé les schémas d’affections possibles du foie d’un animal, et après étude de celui-ci, décidaient si le lieu était bénéfique, donc constructible et habitable, ou à éviter, car dangereux pour la santé.

    Puis les villes se développèrent, et on oublia petit à petit d’étudier les lieux avant d’y construire les résidences pour l’homme. A part dans les campagnes où on utilisait diverses méthodes comme celle du test de l’œuf. Si, on constatait qu’à un endroit de la ferme les animaux étaient plus souvent malades qu’ils le devraient, on testait le lieu pour savoir si l’origine du mal était terrestre. Sachant qu’un œuf reste frais plus de 15 jours, on plaçait des œufs frais sur toute la zone du sol à tester puis, 15 jours après (avant de les manger), on regardait dans quel état ils étaient. Si les œufs étaient toujours frais, c’est qu’ils étaient dans un lieu normal. Si plusieurs d’entre eux étaient déjà pourris, noirs, décomposés etc. c’est qu’ils étaient affectés par le lieu et par une énergie négative qui serait donc aussi négative pour tout être vivant y séjournant. Le test de l’œuf peut être fait en tous lieux. Il n’est pas onéreux (car on mange l’œuf à l’issue, s’il est bon) et très efficace quant à la détection des énergies terrestres négatives qui affectent les êtres vivants. Il a été réalisé aussi sous les lits des personnes.

    Les radiesthésistes et sourciers se sont aussi aperçus que là où passe l’eau en sous-sol, c’est à dire à l’aplomb des rivières souterraines, les « ondes » perçues par les baguettes et pendules étaient des ondes perturbatrices. Les animaux séjournant sur ces lieux étaient affectés et malades. En outre, sur les points les plus négatifs testés, on trouvait d’énormes fourmilières ou termitières, et dans les habitations, ils correspondaient aux endroits de séjour favoris des chats.

    Puis, la religion s’est immiscée dans tout, considérant arbitrairement les chercheurs comme hérétiques et sorciers. Elle a étiqueté tous les phénomènes comme diaboliques ou angéliques, allant même jusqu’à tuer ou détruire tout ce qui allait à l’encontre du dogme religieux, ou simplement n’était pas compris de ses représentants « divins ».

    Au fil du temps, l’homme s’est plus axé sur la recherche de l’argent que celle du bien être naturel. Si bien que les habitations ont été construites n’importe où, y compris à la campagne, que ce soit sur des rivières souterraines, sur d’anciennes décharges ou d’anciens cimetières. De nouvelles maladies inexpliquées comme le cancer, sont apparues, affectant l’homme sans que celui-ci ne comprenne pourquoi « scientifiquement ». Même les hôpitaux, qui sont supposés mettre en œuvre toutes les sciences de l’humanité, sont impuissants à maîtriser les maladies dites « nosocomiales » qui affectent et rendent malades encore plus, ceux qui l’étaient déjà avant. Un tiers des maladies sont des maladies nosocomiales, et comme pour le cancer, restent inexpliquées et difficiles à maîtriser. Cela durera tant que les scientifiques ignoreront les lois qui régissent la nature et l’homme sur le plan énergétique.

    Les énergies qui affectent l’homme en son habitat sont classées en 3 catégories : les énergies naturelles (rivières, magnétisme), celles émises par les inventions de l'homme (pollution, électricité, micro-ondes radio) et les phénomènes métaphysiques (âmes en peine, mémoires, magie).

    I - Les affections par les énergies naturelles.

    La Terre comprend 9 sources naturelles affectant l’homme : le magnétisme, le tellurisme, les blessures de la terre (verts négatif), les émanations (radioactivité, radon...), les rivières souterraines, les failles géologiques, les cheminées cosmotelluriques, les ondes de forme et les énergies cosmiques (solaires, lunaires et autres).

    Le magnétisme :

    La terre dispose d’un pôle-nord et d’un pôle-sud. C’est une masse entourée d’un halo de flux magnétiques. Elle comprend en son cœur un ensemble de métaux en fusion (70 % de fer et 20 % de nickel) et comme tout métal chauffé émet un rayonnement magnétique, la surface de la terre est recouverte d’autant de grilles magnétiques qu’il y a de différents métaux en fusion dans le magma. Ces émanations se présentent à la surface de la terre, comme des grilles qui s’élèvent sur plusieurs centaines de mètres, voire des kilomètres, et traversent les bâtiments.

    Par facilité, on les classe en trois catégories : les flux magnétiques négatifs pour l’homme, les flux neutres et les flux positifs. Inutile, de parler des réseaux neutres qui n’affectent pas l’homme. Quant aux réseaux positifs, ils proviennent des métaux précieux : or, argent, platine et cuivre.

    Le flux magnétique le plus négatif est celui du NICKEL.

    Redécouvert, il y a 50 ans par le Dr Hartmann, il porte le nom de réseau magnétique global du nickel. Il se présente sous forme d’un filet de mailles carrées, écartées d'environ 2 mètres dans le sens nord-sud et de 2 m 50 dans le sens est-ouest. Ses mailles sont des murs magnétiques de 21 cm d'épaisseur, se doublant tous les 7 murs (42 cm), et se triplant tous les 49 murs (63 cm). Il s’agit de murs très hauts, qui se situent à la même place dans un immeuble, au premier ou au dixième étage. Ce réseau est précisément orienté nord-sud, mais peut être dévié naturellement ou artificiellement.

    Comme pour tout champ magnétique, il est constitué d'une alternance de lignes de polarité négative et positive. Les endroits les plus négatifs énergétiquement sont les intersections des lignes de polarité négative. Une intersection sur 4 est doublement négative. Elle est amplifiée lorsque sur son trajet se trouvent des prises de terre qui déchargent les excès de magnétisme électrique, provenant des appareils reliés (ménagers ou industriels).

    Le second réseau magnétique négatif est celui du FER.

    Redécouvert par le Dr Curry, il porte le nom de réseau magnétique diagonal du fer, car il est disposé diagonalement par rapport au nord. Ses mailles, sont axées dans le sens nord-ouest vers sud-est, et écartées d'environ 5 m dans les 2 sens. L’épaisseur des murs est de 40 cm. Elle se double tous les 5 murs (80 cm) et se triple tous les 25 murs. Les murs s’élèvent très haut aussi, et peuvent être déviés naturellement ou artificiellement. Ce sont aussi les intersections négatives qui sont les plus affectantes.

    Les points magnétiques (noirs) dévitalisants pour l'homme se créent aux intersections négatives des réseaux magnétiques du nickel ou du fer, lorsqu'ils se superposent à plusieurs autres phénomènes souterrains perturbants : rivières (naturelles, ou artificielles comme les égouts), failles géologiques, glissements de terrain, cavités, caveaux etc.

    Ils peuvent être identifiés physiquement avec un magnétomètre ou une boussole dont l'aiguille sera déviée. Ils apparaissent par clairvoyance comme des points de couleur noire et peuvent être neutralisés de diverses manières dont celle de l'acupuncture terrestre.

    Ils provoquent au corps physique un ressenti de tremblement déstabilisant. Le corps tente de résister, mais à la longue il s'habitue et un mal-être profond s'installe. Un organe physique se dérègle et s'affaiblit, constituant un terrain propice à l'installation d'une maladie.

    Le tellurisme :

    La terre est couverte de veines telluriques qui sont l'équivalent des méridiens d'énergies de l'homme, connus et utilisés en acupuncture. Il existe sur la terre comme sur l’homme, 12 types de veines telluriques qui transportent 12 fréquences d’énergie éthérique.

    Les veines de la terre suivent souvent la direction des rivières souterraines ou des failles géologiques. Elles circulent plutôt en sous-sol mais ressortent à la surface, en certains endroits.

    C’est sur le passage ou aux croisements des veines de haute énergie que l’on trouve la quasi-totalité des hauts-lieux cosmotelluriques (temples, églises), car elles sont très vitalisantes pour l’homme. Il existe 72 000 croisements importants de veines telluriques sur la planète, comme il existe 72 000 croisements d'énergies sur l'homme connus et utilisés en acupuncture. Selon leur énergie, certaines veines telluriques sont plutôt négatives pour l'homme et peuvent l'influencer dans son habitat.

    Les points terrestres à énergie nulle (blancs) :

    Ils se créent lorsque les énergies telluriques et magnétiques de surface s'opposent et s'annulent. Ils empêchent la montée des énergies telluriques (venant du sol).

    L'homme est déstabilisé sur ces points car il ne reçoit plus que l'énergie cosmique (venant du ciel) alors qu'il a besoin des deux (cosmique et tellurique) en quantité égale, pour être équilibré. Il se sent perdu, n'a plus les pieds sur terre, n'arrive plus à se concentrer ni à réfléchir. Il a des vertiges et devient dépressif à force d'être mal à l'aise.

    Ces points sont mesurables physiquement avec un Ohmmètre piqué à 30 centimètres. Ils apparaissent de couleur blanche par clairvoyance. Ils peuvent être neutralisés par divers procédés dont l'acupuncture terrestre.

    Les points de blessure de la Terre :

    Outre les points négatifs magnétiques (noirs) et les points dépourvus d'énergie terrestre (blancs), il existe deux autres types de points négatifs du sol qui affectent la santé très sérieusement et qui sont des points de blessures de la Terre, dévitalisants psychiquement ou physiquement.

    Les points dévitalisants psychiques (verts) :

    Ils se trouvent surtout autour des lieux habités par l'homme, car ils sont créés par la médisance et les pensées négatives répétées de ceux-ci. Il s'agit de points dépollueurs de la Terre. De diamètre pouvant aller de quelques centimètres jusqu'à trois mètres, chacun forme un faisceau de lumière qui évacue l'énergie délétère accumulée au-delà des nuages. Les émanations peuvent se produire en ligne, lorsqu'elles sont émises par une faille du sous-sol, une fracture de la terre. C'est l'équivalent d'une glande ou d'une plaie qui évacue une infection. Les clairvoyants voient ces points de couleur verte et l'énergie est nommée vert négatif.

    Ces points ne peuvent pas être neutralisés, car ils sont vitaux pour la Terre, mais ils peuvent être déplacés de plusieurs dizaines de mètres, par un à trois points d'acupuncture spécifiques.

    Les énergies émises perturbent les facultés psychiques de l'homme qui séjourne dessus régulièrement. Elles provoquent des troubles mentaux et une véritable aliénation. C'est dans les zones de médisance qu'il y a donc le plus de déséquilibrés mentaux.

    Les points dévitalisants physiques (rouges) :

    Ils sont à l'opposé des précédents (énergie sortante) des trous d'énergie, des puits, des vides. De 7 mètres de diamètre maximum et d'une profondeur pouvant atteindre plusieurs kilomètres, ce sont des points de douleur de la terre, comme des caries dentaires.

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