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Mia
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Ebook198 pages2 hours

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About this ebook

Mia est une fille normale, heureuse, romantique et rêveuse. Elle avait dix-huit ans quand elle a été repoussée par Connor, son amour platonique d'adolescence. « Tu es une gamine pour moi! », c'était la dernière chose qu'il lui a dit avant de disparaître.

Huit ans ont passé, Mia viens de se diplômer en médecine, et continue de vivre avec son père, elle a sa meilleure amie Allison et un fiancé qui l'adore. Sa vie est tranquille et routinière, mais tout n’est pas parfait pour Mia comme tout le monde croient, elle est obsédée de découvrir les motifs que sa mère a eus de l'abandonner. Un secret de famille dont personne ose parler.

Connor Blair est un chirurgien de renom, un homme sûr de lui-même, ambitieux, arrogant et séduisant á enragé. Un terrible accident a changé sa vie, et a fait qu'il se convertisse en homme incapable de maintenir une relation avec une femme pour plus d'une nuit.

Une rencontre inespérée avec le passé, les fera vivre des situations qui les mettront à l’épreuve, et bien qu'ils partagent la même carrière, ils ont de styles de vie très différents, en leur prouvant que pas tout est basé sur des puissantes émotions et mystères á résoudre. Mia se verra dans une croisée de chemins, où choisir avec qui rester sera une décision bien compliquée. 

LanguageFrançais
PublisherBadPress
Release dateFeb 17, 2018
ISBN9781547517947
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    Mia - A.G. Keller

    A mes filles qui sont m’a force, mon propulseur et mon univers... et à toi, monsieur aux milles prénoms, qui m’as aidée à réaliser ce rêve avec t’a patience et ton soutien inconditionnel.

    Chapitre 1

    ––––––––

    —Dépêche-toi de descendre, Mia, je ne veux pas que tu manques ton vol, a déclaré mon père avec impatience alors qu'il stationner devant une des entrées de l'aéroport.

    En dernière semaine d’Automne, papa, m'emmené à l'aéroport de La Guardia à New York après avoir voyagé de notre appartement sur Upper East Side à Manhattan, près de Central Park. Je devais prendre un vol en direction de Dallas, où il se dérouler le II Congrès national de médecine moderne, dans lequel je m’étais inscrite il y a quelques semaines.

    —Calme-toi, je ne vais pas le perdre, assurai-je avec une légère pression sur son genou, puis il est descendu pour sortir mes bagages du coffre. Je pris mon sac du siège arrière et je m'assurai de ne rien laisser avant de sortir de la voiture.

    —Je te verrai dans quelques jours. Appelle-moi pour me faire savoir que tu es bien arrivé,  a-t-il dit me faisant un câlin est déposant un baiser sur ma joue.

    Robert Watts, mon père, à ces quarante-six ans, était beau. Avec son mètre quatre-vingt-sept, une peau bronzée et des cheveux bruns, il attirés encore des regards. Son excellent état physique était dû à son fanatisme de courir quotidiennement et à maintenir une bonne alimentation. Il avait un cœur d'or, était patient, affectueux et travailleur. Il était médecin, comme mon grand-père Thomas. Les deux provenaient d'une famille de chirurgiens et, par conséquent, je ne pouvais pas être moins. J'ai décidé de suivre les pas des deux hommes que j’aimés le plus et j’admirés dans le monde.

    Il y a un mois à peine que j’étais diplômée en chirurgie, avec une spécialisation en pédiatrie à l'Université de Columbia. J'essayais d'avoir un emploi à l'hôpital de la ville, je savais que ce ne serait pas facile si je n'avais pas l'aide de mon père. Je devais élargir mes connaissances et augmenter la valeur de m’on grade. C'est pourquoi j’assisté au congrès.

    Papa me remis la poignée de la valise à roulettes, et nous nous avions dit au revoir avant d’avancer à petit pas vers l'aéroport. Avant que les portes mécaniques ne se soient fermées, je me suis tourné vers lui. Il était appuyé contre la voiture, me regardant partir. Je l’ai salué et continué mon chemin vers l’agence de l'avion pour me débarrasser de mes bagages.

    Lorsque nous sortions, j'ai souvent remarqué que les femmes le dévisagé, mais au plus profond de moi, je ne pouvais pas comprendre pourquoi personne ne l'avait conquis. J'étais ce qu'on appelle « une erreur de jeunesse », papa avait à peine vingt ans quand il m’a eu. Et ma mère? Elle avait simplement disparu. Mais cela n'a pas empêché Robert d'être un père merveilleux.

    L'histoire de ma mère était un mystère pour moi. Un sujet Tabou dans la famille. Mes grands-parents ne la nommé pas, et l’éternelle réponse de papa à mes questions était:

    «Je ne veux pas en parler maintenant».

    Cette attitude m'a toujours dérangé. Pendant des années, j'ai insisté pour qu'ils me donnent des informations, échouant à chacune de mes tentatives.

    C'est pourquoi j'avais pris la décision de la rechercher seule, et de découvrir que lui était-il arrivé, qu'elle soit vivante ou morte, et les raisons qu'elle avait pour nous avoir abandonnées et disparaître sans regarder en arrière. Pour moi, elle était une inconnue, une énigme que je désirée résoudre.

    Oliver, mon copain actuel, m'a offert de m'aider. Lui et moi sortions ensemble depuis deux mois, et depuis que je lui avais raconté le peut que je savais sur ma mère, il était devenu mon complice et me soutenez dans cette recherche. Avec son aide, je pris les services d'un enquêteur privé, pour pouvoir passer page et rassasier une fois pour toutes, ma curiosité. J’avais le droit de connaître la vérité.

    J'ai toujours eu du mal à prendre des engagements et des responsabilités, et d’un temps en arrière mon penchant à boire était devenu plus accentué.  L’intuition me disait que son abandon avait beaucoup à voir avec cela.

    J'avais besoin de fermer ce cycle, d'aller de l'avant et de ne pas me laissé emporter par la dépression.

    Personnellement, je me considérais comme une romantique dans l’âme. J'espérais un jour que mon prince charmant apparaîtrait. Fidèle est croyant au mariage. Peut-être cela était dû à la belle union que j'avais vue de mes grands-parents et à leur façon de se compénétrés. Cependant, bien que cela semble contradictoire, j’avais de sérieux problèmes à conserver une relation amoureuse pendant plus de trois mois.

    Après avoir passé les ennuyeux contrôles de sécurité, j’allée à la zone vip pour les personnes voyageant en première classe.

    Les vols me rendez un peu nerveuse. Comme il resta un peu de temps, j’ai décidée de prendre un verre et de manger un sandwich, je mourrais de faim.

    Je marchais rapidement jusqu'à la zone privée de la compagnie aérienne avec laquelle je voyageais. A l’entré il y avait une longue table ornée d'une nappe blanche et d'une paire de bouquets de différentes fleurs colorées placées au centre qui attiré mon attention. Il y avait des plateaux avec une variété de nourriture, des pâtes froides, des ragoûts de viande. Je me suis approchée est ai examinée chacun d'entre eux, essayant de choisir de quoi me servir.

    —Les aliments on l’air bon.

    Une voix masculine jailli à mes côté, tandis que moi, sans remords, je me remplis une assiette de salade froide. Je n'avais pas pris de petit déjeuner dans la hâte du voyage et maintenant mon ventre gronda si fort que j'étais sûr qu'ils pouvaient m'entendre.

    —Oui, tout a l'air délicieux, répondis-je sans le regarder.

    Pour  un instant, sa voix m’a semblé familière, mais j'en décidée de ne pas m'en soucier.

    En terminant de me servir un peu du ragoût de bœuf, j'élevé mon visage cherchant le propriétaire de cette voix suave et profonde, mais il était trop tard. Il n’était plus là.

    ***

    Assise dans l'avion, après trente minutes de vol, je remercié le ciel de ne pas avoir quelqu'un assis à côté de moi, bien qu'en général le vol était un peu vide. Je pris le matériel de la conférence pour jeter un coup d'œil, je ne voulais pas me faire remarquer en tant que toute juste diplômée.

    Une heure plus tard, j'entendu le rire d’une femme et la voix d'un homme qui chuchoté. De mon siège, je ne pouvais pas comprendre ce qu’ils disaient, mais j'avais l'impression que la voix masculine ressemblait beaucoup à l'homme qui m'avait parlé dans la salle VIP.

    «Umm, quelle coïncidence,» pensai-je.

    Le couple était assis juste derrière moi. La curiosité de savoir de qui il s'agissait était en train de me tuer.

    L'un des deux appuya sur le bouton pour appeler l'hôtesse de l'air, qui apparut en moins d’une minute. La jeune fille demanda une paire de couvertures, affirmant avoir froid. Au bout d'un moment, ils les reçurent entre rires et remerciant le geste.

    Pendant un instant, le silence régné, j'imaginé qu'ils regardaient le film qui était transmis à ce moment-là. Incapable de supporter l'intrigue, je me retourné pour essayer d’apercevoir entre les deux sièges le couple. Ce que j’entrevue me laissa la bouche ouverte.

    La première chose qui attiré mon attention était le bracelet tressé aux couleurs vives qui entourait le poignet de l'homme. Sa main était sous la jupe de la jeune fille. Il entré est sortez avec agilité. Mes yeux ne pouvaient pas cesser de regarder. La scène, en plus d'être érotique, était très sexy, et même si je ne voulais pas l'admettre, m’ont intimité c’était humidifier. Je fermai les yeux et me replaça dans mon siège. Je les ouvris presque immédiatement pour m'assurer que personne ne m'avait vu épier.

    —Tu peux continuer à regarder, ça dérange pas... maintenant vient la meilleure partie. J’entendu dire à travers les sièges avec une voix basse et frémissante.

    Je failli mourir de honte dans l’acte. Cet homme sexy et terriblement sans-gêne avait réveillé en moi l'envie d'entrer dans son jeu. Il voulait que je continue à regarder comme il faisait jouir la fille avec c’est caresses. Le pire était que je le voulais et imaginer qu'il me le faisait a moi.

    J'ai commencé à douter, mais au son du zip de son pantalon, je ne pouvais pas résister. L'anxiété de voir ce qui se passerait ensuite m’accéléré le pouls.

    Je me suis tourné avec précaution pour éviter d'attirer l'attention. Mon regard ensorcelé part un membre, grand, large et rigide. Une main délicate, des ongles longs et vernit en rouge, l'entouré avec fermeté. Un va est viens lent, sans être pressé. J'ai levé les yeux jusqu'à ce que je rencontre le regard de l'homme. Ils étaient bleus, d'un ton clair et cristallin. Ils étaient très beau, et surtout, l'intensité avec laquelle il m'observé.

    L'écart entre les sièges était étroit et je ne pouvais pas voir son visage clairement. D'ailleurs la jeune fille c’était mi au milieu pour l'embrasser à mon désespoir, me bloquant complètement.

    Je me suis assise droite dans mon siège, me sentant gêner d'avoir était découverte et fâchée d'être tombé dans son piège. Cet homme était dangereux, un exhibitionniste audacieux, qui aimait attirer l'attention.

    « Je vais t’ignorer, il ne se passe rien », réitérai-je mentalement.

    J'ai pris une grande respiration et la retenu pendant quelques secondes dans mes poumons, puis je relâchai lentement, en me concentrant sur mon souffle. J'avais besoin de mettre mes pensées en ordre. Si c'était possible après avoir assisté à une scène comme celle-là.

    Je laissé passer dix minutes et je me levai évitant de les regarder. Je me dirigeai vers la minuscule salle de bain de l'avion en fermant à clé. En regardant mon reflet dans le miroir, j'étais rouge, excitée et suffoquée.

    « Ceci n'est pas bien ». Je secouai la tête.

    J'ouvris le robinet et aspergé d’eau mon visage, puis me sécha doucement avec une serviette en papier, me sentant plus calme.

    « Bien sûr, sa doit être des jeunes mariés », dis-je à voix basse pour justifier le fait, mais je ne pouvais pas effacer ce regard bleu de mon esprit.

    Quand je retournée à mon siège, je remarquée que la femme assise derrière moi n'était plus accompagnée. Pour une raison étrange, que je ne pus pas expliquer, cela m'a fait me sentir mieux.

    Je m’assis lorsque je trouvai un papier sur le coussin du siège. Je l'examiné de plus près. C'était une carte personnelle, avec une signature: Sandra Lagunes, Esthéticienne.

    J’entre fermé les yeux et regardé autour de moi. Je ne trouvé aucune trace de l'homme aux yeux bleus. Je regardé à nouveau la carte de visite et quand je l'ai retourné, j'y trouvé un message écrit sur au stylo.

    « J'espère que tu as aimé ce que tu as aperçue, appelle-moi... » Un numéro de téléphone portable y étais annoté.

    —L'homme qui était avec moi te la laissée, me dit la jeune femme.  C'est ma carte, je le lui et donné parce qu'il n'avait nulle part où l'écrire. Appelle-le, tu ne le regretteras pas, me dit-elle sans gêne. Tu peux m'appeler aussi, nous ferions un superbe trio, dit-elle en me clignant un œil et en me souriant taquine.

    Je me suis sentis rougir jusqu’aux oreilles, et je me suis retournée sans rien dire parce que je manqué de mots. C'était la première fois que je vivais une telle situation.

    J'attrapé mon sac pour y jeter la carte à l'intérieur. J'en retiré mon iPod et mis le casque, voulant m'éloigner de tout ce qui m'était arrivé. Je parcouru les chansons jusqu'à trouver l'album Coldplay. Je fermé les yeux quand j'écoutais les notes de la première chanson avec un grognement de frustration. La situation avait échappé. Cet homme... à quoi pensait-il? Il était très sûr de lui-même, mais avec moi il avait eu tort. Je devais le lui prouver si je le rencontré à nouveau.

    Chapitre 2

    J’arrivé à l'hôtel vers dix-huit heures de l'après-midi. Je n'avais qu'une heure pour me préparer avant d'aller au repas de bienvenue. J’allais à la réception m’enregistré á L'Omni Dallas Hôtel, un lieu élégant et moderne où se déroulé le Congrès. Papa avait pris soin d’organisé mon séjour. Il avait beaucoup de contacts avec les organisateurs de l'événement.

    J’allais directement dans m’a chambre, impatiente de prendre une douche pour enlever le reste de l'excitation que mon corps avait expérimenté part la scène sensuelle de l'avion. Je laissé tout tomber sur le lit et allé directement dans la salle de bain. Je devais me dépêcher si je voulais être à l'heure.

    Quand je suis sorti envelopper d’une grande serviette blanche, j'allumé la télévision pour avoir un peu de bruit. Je voulais oublier ce qui s'était passé avec ce couple, qui se répété dans m’a mémoire sans pouvoir l'éviter. Mais surtout, je voulais effacer de mon esprit ces yeux bleus si intenses qui m’avaient mis au défi.

    Pendant le reste du voyage, son regard a commencé à me rappeler une personne que j'avais connue il y a des années, et qui avais signifié beaucoup pour moi.

    J'exhalé en profondeur l'air piégé dans mes poumons et secoua la tête.

    —Sa suffit Mia! Concentre-toi et arrête de penser à lui!  Me reprochai-je à haute voix.

    Je m’étais interdit de pensée à l'idiot qui m’avait brisé le cœur.

    Pendant que je m’habillé, j'envoyé un message de texte à papa et à Oliver, en leur informant que je m’étais bien installé à l'hôtel. Je leur avais promis.

    Quand je fus prête, je me mis devant le miroir sur pied de la chambre, afin d'évaluer que ma robe de cocktail noir, peu révélatrice, me moulé bien sans incommodités. Les chaussures à talons hauts m'aidé à me voir quelques centimètres de plus et mon maquillage simple m'apporté cette touche spéciale. C'était parfait, très de mon style, et comme m’as meilleure amie Allison disait toujours:

    « Une fille devait toujours être belle ».

    À sept heures, j’allais au restaurant. La salle était immense, bien éclairé et très accueillante, décoré d'une manière sobre mais exquise. Une mélodie de jazz retentissez en musique de fond.

    Je regardé autour de moi cherchant une connaissance, en portant mon intérêt sur le bar

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