Découverte

Prologue

« Tout est rien avec une torsion. » - Kurt Vonnegut

Comment commencer une histoire? Cela peut souvent être la partie la plus difficile, au début, mais il est pas toujours le plus difficile. Souvent, il est ce qui se passe au milieu de l'histoire qui est le plus troublant, mais par un coup du sort qui est toujours la partie qui semble devenir la partie qui est le plus oublié. Il est toujours le début et la fin qui se souvenaient le mieux, et alors que les aspects du milieu se souvient il y a toujours des choses que l'on voudrait plus oublier. Là encore, il y a plus que les choses souvenaient au milieu, il y a des petites choses ... petites choses qui collent en quelque sorte dans sa mémoire. Quelque chose de petit que la façon dont la lumière a touché le visage de quelqu'un vous avez pris soin de, ou une légère inflexion de la façon dont un mot a été dit, dans la plus petite touche ou un sentiment qui semblait remuer en soi-même.

La meilleure partie pour commencer une histoire bien sûr est habituellement le début; mais cela aussi peut être quelque chose de difficile à sélectionner. À quel moment peut-on vraiment dire que leur vie a commencé, le moment où ils peuvent plus tôt souvenir, le moment où ils ont attiré souffle, le moment où ils ont commencé à remuer dans un utérus, le moment où ils ont fait un ami, au moment où ils sont tombés amoureux, la moment où ils ont apporté une autre vie dans le monde, au moment où ils ont commencé à mourir? Tout a une incidence sur la façon dont on arrive au point où ils sont, à tout moment, tout a une importance, tout construit à cela. Alors, quelle est une histoire vraiment, mais une accumulation jusqu'à la fin, ce qui est le début de quelque chose d'autre, alors qu'il est juste une autre transition entre un début et une autre extrémité qui est à son tour un début?

Peu importe, en racontant une histoire on doit « commencer » quelque part. Donc alors…

Où alors commencer et où va nous prendre ce début? A la fin peut-être, puis de cette fin, où allons-nous? Quels changements? Ce qui commence à se développer dans le vide qui était autrefois?

Le vide ... peut-être que, en soi, est une bonne façon de commencer. Le néant qui a été la construction jusqu'au début des choses qui commencent ...

Une fois il y avait le vide. Que le vide avait été le premier, ou si elle était le vide de l'univers le plus récent, il n'y a aucun moyen de vraiment savoir. Bien que ce qui est certain cependant, le vide est venu en premier. Alors que le temps passait, est venu lentement les choses; particules, petites mouchetures d'être, de l'existence. Lentement mais sûrement existence liée ensemble, il a pris forme, est devenu défini et complexe.

Pourtant, même dans les formes de base de l'existence, ils étaient eux-mêmes essentiellement vide, rien surtout. Malgré cela, ils ont donné la substance, des mondes, des galaxies, un univers fait; et dans chacun des those- comme leur bâtiment pièces- le vide resté dominant. Nothingness a toujours existé, est resté toujours non-existence. Il était donc que rien ne se trouvait infecté par l'existence, par des lois naturelles en place du chaos, il avait si rendu cher.

Il était donc que rien, malgré cela, a fait sa propre création. Une existence de non-existence. Des êtres du chaos, des peuples que si la forme des peuples d'existence, les ombres fausses, ont été remplies avec le vide. De ce vide, ils étaient tourmentés, désespérément, essayant voracement pour assouvir une faim sans bornes pour remplir le rien qui les remplit.

Ils étaient les joujoux de rien, les jouets de Tensombrek.

Le soleil ne brillait à travers les nuages, ils étaient trop épais, trop vaste; le plus qui jamais traverser était assez pour faire le ciel semble être une masse tourbillonnant gris clair. Le sol a varié de gris clair au noir, la majorité un gris foncé quelque part entre les deux. La glace et l'eau comme on l'appelait était sans rappeler l'huile ou de la boue, mais encore plus fluide que ce que l'eau serait, bien qu'il serait difficile pour un être du monde existant d'imaginer une telle chose.

Après tout, ce ne fut pas le monde actuel, du moins pas dans un sens que la « matière » serait l'identifier. Pour toutes les similitudes (quoique sombre) que cet univers avait, il n'a pas été un lieu de substance, de la véritable existence. Ce fut le Nagith, l'univers qui l'univers occulté de l'existence, l'univers de couleurs et florissante brûlant des gaz de chaleur. C'était ce qu'ils penseraient comme contre nature, mais en toute réalité, il était vraiment aussi naturel qu'ils étaient. Toutes les choses dans la nature sont homologues, comme la philosophie d'une culture de la Terre a déclaré un jour. Forces de travail dans l'opposition et l'égalité, pousser et tirer pour toujours les uns les autres, l'équilibre ce qui se passe déséquilibrée. Il était donc naturel que si la lumière avait l'ombre, que l'existence avait son équivalent.

On pourrait peut-être voir comme le royaume « sombre », mais ce ne serait pas vrai. Alors qu'en termes de coloration peut-être qu'il était « sombre », ce n'était pas l'obscurité. Au contraire, il était tout simplement une parodie du monde actuel qui coexistaient la lumière et l'obscurité. Il se moque dans cette réalité adverse ne coexiste forces, que l'un était présent et on n'a pas, il simplement arrivé à être une force ceux de l'autre réalité appellerait « sombre », et non pas celui qu'ils penseraient comme ' lumière'.

Cette réalité a été appelée Nagith, un terme dérivé du mot « Négation » qui est passé de l'autre réalité, et en tant que tel son peuple ont été surnommé Nagithians. Bien sûr il y avait beaucoup plus de différences que simplement un ... Name-

Peu importe ... il y aura le temps de parler de ce monde dans le récit, de sorte que le récit doit continuer.

Si elle a commencé à tout moment après Tensombrek créé cette réalité pour son amusement et de son dépit, il a commencé par Charin.

Sa mère était une pute. Non pas que cela était mauvais, il ne comprenait pas ce que cela signifiait. Elle était si « bon », elle pourrait faire payer pour cela. Il ne savait pas ce « il » était qu'elle était bon, mais il était quelque chose adultes a fait.

Non pas qu'il pouvait être blâmé pour sa confusion, il était jeune, et le statut de sa mère était étrange aussi. Promiscuité n'a pas été dédaignée par Nagithians; il était courant, il était normal Nagithians pour tenter autant de rencontres de rapports que possible. Pour une femme- ou un homme, qui était si « habile » à de telles activités qu'ils pourraient facturer pour ces services, le terme « putain » a été attribué.

Il était un titre compliqué pour le moins; d'une part, il a été hautement considéré comme un respect pour elle ou ses prouesses en matière de literie que de telles choses étaient très prisées. D'autre part, ils étaient méprisés avides, comme les avares qui étaient assez arrogants pour dire à quelqu'un qu'ils devaient payer pour être pleasured. Ainsi, une haine respectueuse a donné lieu habituellement. Ceux de la richesse étaient beaucoup plus nature à la « classe » comme ils pouvaient se permettre de tels plaisirs alors que les personnes les plus pauvres méprisés sur eux avec dédain.

Eh bien cela n'a pas eu beaucoup d'effet sur l'histoire de Charin, mais il l'a fait sur sa vie, car il était à cause de « statut » de sa mère que les choses ont commencé à se dérouler comme ils l'ont fait. Charin serait toujours en dehors, gambader dans les rues comme un enfant alors que sa mère était avec ses différents clients. Il avait chasser les petits charognards à travers les ruelles, claquant à eux avec ses mâchoires. Charin était un enfant Nagithian typique, que tout autre aurait-il aurait passer beaucoup de temps dans sa forme reptilienne.

Bien que ce fût il y a plusieurs milliers d'années la forme n'a pas changé much- si, à ce moment-là tout-de. Un grand reptile noir de la taille d'un Maxianthan « dog'- qui est un « chien » du domaine existant, le Maxiantha. Il était un enfant d'environ huit ou neuf et comme tous ses semblables avaient la possibilité de changer entre les formes; une forme plus ou moins « humain » et la forme « lézard ». La taille d'un chien Maxianthan, avec quatre pieds évasés et une queue fouetter revêtue en peau de cuir noir.

Les dents et les griffes sont également de leur côté bien sûr, d'une netteté incroyable. Ensuite, il y avait la configuration étrange de la bouche ... Les mâchoires peuvent diviser. Il n'y a pas une autre créature dans ce ou l'autre monde qui avait une mâchoire tout à fait comme that- bien ... si tout ce qu'il fait penser à une fleur Maxianthan, grotesque, mis à l'échelle et l'ouverture et la fermeture de fleurs à dents, les tendons des muscles d'étalement et rebranchant le pièces. La langue était longue et le fouet comme, ce qui pourrait être rallongée et raccourcie à volonté, à enrouler autour des objets et de les ramasser, les déplacer, les étrangler. Les formes de reptiles alors, malgré leur conception grotesque étaient des ailes très efficace, à part les petites, coriaces vestigiaux attachées au cou.

Ils sont ridiculement petit et ne servent à rien, bien que est ... ils ne l'ont pas jusqu'à ce point. On pourrait faire valoir peut-être que c'est à cause des ailes que tout a commencé.

Charin avait été va de lui-même amusant, claquant les petites créatures, fringant autour, tout renifler il a trouvé intéressant. Les petites ailes sur son cou flottaient rapidement comme il l'a fait, sa queue bruissant çà et là. C'était ce qui avait attiré l'attention cependant ...

Alors que ses ailes étaient petits, oui, ils étaient encore nettement trop importante en proportion de son corps. C'était tout ce qui était nécessaire pour se faire remarquer. Il venait coincé sa tête sous une maison, claquant à la petite vermine en dessous. Sa queue tortilla joyeusement ensuite raide comme le sol a donné un bruit sourd audible. Les petites bêtes qu'il avait été Chasing figea dans leurs voies sous la maison, leurs longues oreilles pichenette dans de multiples directions, petites épines hérissés. Il tira lentement sa tête sous le bâtiment, il grutage à regarder ce que derrière lui avait débarqué. Il leva les yeux ... et jusqu'à ... et ... et ... jusqu'à.

Une créature très semblable à sa propre forme, mais plus grand, plus solide, les jambes n'évasé semblable à un lézard, mais placé sous le corps principal, un cou plus long, plus sinueux, un ensemble de cornes cassées et fissurés, et un très grand ensemble des ailes ébène. Charin recroquevillé en boule, les yeux écarquillés, les yeux fixés sur le mastodonte. Il n'y avait que deux d'entre eux, seulement deux dragons. Plus servi le plus petit, mais tous savaient bien que, malgré la plus grande taille de la plus petite était plus impressionnant ... et être plus puissant. Pourtant, cela n'a pas beaucoup d'importance pour lui, celui-ci était tout aussi important à craindre.

Charin grinçait dans la terreur, en essayant une course folle à une fuite lorsque le muscle fouet enroulé autour de sa gorge. Il poussa un cri de terreur, claquant dans le sol comme la langue tannée le tenait fermement, le dragon l'inspecter de près, le souffle chaud lui faisant frissonner d'autant plus. Il se sentait ses énormes prod groin ses ailes et il a donné un sanglot. Que voulait-il avec lui? Il avait rien fait de mal, il avait rien fait, il venait playing-

Il a donné un petit cri comme il a été soulevé du sol, les dents avant de creuser dans la scaled « arête » à la base de son cou, son de Scruff du dragon. Instinctivement, il recroquevillé, suspendu à ses mâchoires comme il pendrait de sa mère est comme un bébé.

Ce fut la seule partie qui lui était familière, car l'instant le sol se rétrécissait loin. Il grinçait encore, ses yeux écarquillés comme les bâtiments et les rues rétractées devant ses yeux. Haute! Ils étaient en haut! Il se recroquevilla plus serré, les yeux fixés vers le bas, entendre les battements massifs des ailes du dragon comme il l'emporta. Tout déplacé si vite, le paysage gris poussiéreux, les bâtiments de Ebon et violet clair, les rakyals bleu enflammées hargneux dans leurs cages suspendues, l'éclairage des rues. Il ressemblait à un patchwork de bleus et violets, des taches de vert, brillant dans un réseau complexe de pierre noire comme ils ont volé plus profondément dans la ville.

Comme le flou de Voyage passa devant lui, il se trouva ... là, dans le château, la forteresse, la citadelle, le temple. La demeure de leur maître, leur divinité, il se souvenait de tenter de se soustraire sans le mastodonte ne doit être brusquement abaissée et est tombé sur le sol. Il a donné un petit cri indigné, en secouant la tête et en regardant vers le haut.

Il a gelé, les petites fioritures qui étaient ses oreilles baisser alors qu'il regardait à la vue.

Il était- déconcertant. Une masse qu'il ne pouvait pas traiter, comme l'obscurité mais- pas, l'obscurité était une chose, l'obscurité était quelque chose qu'on pouvait percevoir et étiquette. Non, ce fut une messe qu'il se sentait plus vu, senti la torsion, se tordant, pulsant; ce n'était pas là, mais il a crié sa présence. Il ferma les yeux, baissant la tête, il ne pouvait pas prendre cela, ne pouvait pas emporter à

Je vous ai dit que je devais rester seul

La voix, l'écho dans son esprit, en le secouant à son cœur, fracassant sur lui comme le verre brisé, tombant sur lui, ce fut une « voix » horrible sans son.

« Maître », le mastodonte ci-dessus lui a parlé dans une profonde voix monotone qui gronde. « L'enfant est d'intérêt pour vous. Il est une impureté « .

Charin sentait reflux, sentit le malaise se rétractent de lui, tirant loin à son noyau. Il avait à peine lui a laissé quand il a entendu la voix, encore faible, sombre, le refroidissement, mais maintenant tout à fait audible, tout à fait réel.

« Qu'est-ce exactement sur le sale gosse qui est une « impureté »? » Il se moquait, évidemment désintéressé. « Tu vas sénile, Malochite? »

Charin mordit ses griffes dans les rainures du sol en pierre, les yeux bien fermés alors qu'il tentait de prendre le contrôle de lui-même. Cette voix, cette voix ... il ne voulait pas être là, il voulait rentrer chez lui, il voulait revenir à ses ruelles,