Tapis sous la voûte céleste
ongtemps ringardisé, le tapis revient en grâce à la faveur de l’engouement actuel pour le graphisme, les motifs, les matières naturelles et les intérieurs plus chaleureux… De Noé Duchaufour-Lawrance aux frères Bouroullec, siècle classé au titre des monuments historiques depuis 1967 et spécialisé, depuis 2012, en design et en arts graphiques. raconte Mathias Courtet, commissaire de l’exposition « À poils ! » et responsable du Kiosque. Ses critères de sélection ? On retrouve notamment le la spirale multicolore de Constance Guisset, et le de Marie-Aurore Stiker-Metral, dont le dessin est constitué de lignes estompées, mais aussi des modèles signés des designers Jean-Baptiste Fastrez ou Lili Gayman, de l’illustrateur jeunesse Chris Haughton ou encore de l’artiste et musicien Dylan Martorell. Mais, contrairement à bien des expositions de design, si celle-ci sacralise le tapis en l’élevant dans les cieux, elle permet néanmoins au visiteur d’entrer en contact avec eux. Suspendus à une hauteur qui oblige à lever les yeux pour les admirer, ils sont encore suffisamment bas pour que chacun puisse les toucher et apprécier leur qualité, fruit d’un savoir-faire exceptionnel. explique Mathias Courtet,
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