Courier
Apr 09, 2020
1 minute
En 2008, Jeff Taylor crée INQ, une start-up qui développe des logiciels de médias sociaux, ils lancent en 2013, un bimensuel gratuit dédié aux start-up. Avec l’explosion de l’autoentrepreneuriat à Londres, suscite beaucoup d’intérêt. Distribué dans des cafés et dans 350 kiosques, il est lu par près de 50000 personnes en 2017. Ses fondateurs font alors le pari du payant. Le magazine change de format et s’enrichit de reportages à l’étranger. Il met en valeur aussi bien un collectif d’artisans qui cultivent l’indigo au Japon qu’un fabricant de couteaux à Barcelone. Présent dans 26 pays, fourmille de conseils, de portraits et d’initiatives innovantes dans des secteurs délaissés.
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