DES TROUBLES PSYCHIATRIQUES CHEZ DES JEUNES SANS ANTÉCÉDENTS

ont-ils parfois entendu. Après le début du confinement, et surtout pendant la première quinzaine d’avril, des psychiatres de Seine-Saint-Denis ont Il y a ceux qui prétendent ceux qui sont pris Et, donc, ceux qui disent ne plus faire qu’un avec le virus. D’autres, encore, présentent des troubles anxieux. Également alertée par la psychiatre Dominique Januel, qui exerce à l’hôpital de Ville-Évrard et dans un centre médico-psychologique du département francilien, a lancé une étude d’évaluation du confinement sur ces premiers épisodes psychiatriques. Le but : mieux comprendre ces liées, selon elle, consécutif à l’enfermement. En général, après une hospitalisation et des traitements médicamenteux, les patients ont pu reprendre le cours de leur vie : dit la spécialiste. L’étude permettra de vérifier que certains n’évolueront pas vers une pathologie lourde.