L’ART DU PRÉCIEUX
on aura reconnu des titres de David Bowie, Queen, Björk. précise-t-il. Tout commence par De sa formation au design graphique, il a gardé une admiration pour les collages dada et l’esthétique constructiviste. Mais à lasa suspension monumentale empruntée à l’univers du film de Ridley Scott. En réalité, trois suspensions en bronze coulé dont les diffuseurs sont en biscuit, la fragilité de la porcelaine tempérant la puissance du métal. Une silhouette organique, loin de ses premiers travaux, très graphiques. , reconnaît-il, comme en témoignent les thèmes «Sweet Things» ou «Khaos». William Guillon confie la réalisation de ses créations, (souvent des «objets de lumière» aux finitions et matériaux variés) numérotées et en édition limitée pour la plupart, à des artisans français : le métallier François Pouenat, la fonderie d’art des Cyclopes et Prodec Métal, le porcelainier Arquié, l’ébéniste Le Nouvel Atelier - Richard Fournier. Ses pièces sont diffusées à Paris (chez Sors et Anne Jacquemin Sablon), Bordeaux (Coutume{s}), Toulouse (Oak), Madrid (Element & Co), New York, Los Angeles, dans les Hamptons et bientôt à Singapour, dans le mythique palace Raffles. En deux ou trois dimensions, il faut toujours suivre ses rêves.
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