Et si la solution venait des postillons ?
Et si la salive, dont les dangereux postillons propagent le virus, nous aidait demain à le vaincre ? Confrontées à la saturation des labos privés, les autorités souhaitent élargir la palette des outils de détection. Soit en améliorant les performances du système de dépistage, dont le pilier est le test standard par PCR, soit en essayant d’autres méthodes.
Premier espoir : les tests si le fluide peut, comme les cellules du nez, servir d’échantillon pour une analyse par PCR, qui met en évidence le Sars-CoV-2. L’agence sanitaire se basera sur la littérature médicale et sur les premiers résultats de l’étude Covisal, lancée début août en Guyane. décode Cédric Carbonneil, chef du service Évaluation des actes professionnels à la HAS.
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