«N’attendons pas tout du gouvernement»
L’épidémiologiste Arnaud Fontanet, un des premiers à avoir alerté contre la menace épidémique en janvier, martèle que les conséquences de la deuxième vague sur les services de réanimation hospitaliers pourraient être réduites grâce à un sursaut citoyen.
La deuxième vague est-elle là ?
Elle est moins haute que la première mais la marée monte dangereusement. Elle varie en intensité selon les endroits, préservant seulement le Grand-Est aujourd’hui. Les réanimations se remplissent ; les déprogrammations d’opérations, que l’on voulait éviter, recommencent. Dès le mois de juillet, le conseil scientifique avait
