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Animus-Anima: Guide de développement personnel
Animus-Anima: Guide de développement personnel
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Animus-Anima: Guide de développement personnel

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About this ebook

Découvrez ou redécouvrez des textes profonds sur la nécessité de revenir aux sources, de se reconnecter à soi et à la nature !

La compilation d'un an de posts de la page Facebook de l'auteur.

Ce livre de réflexion et de développement personnel marque le premier anniversaire de ma page Facebook Stéphane énergéticien rennes.

EXTRAIT

Cela fait quelque temps que me trotte dans la tête l’idée de vous faire partager une réflexion issue de mon expérience de magnétiseur et relative au fait qu’un grand nombre de personnes se limitent complètement dans leur vie. En effet, au fur et à mesure des consultations, je me suis rendu compte – et m’en aperçois de plus en plus – des blocages limitants que nous nous imposons quasiment tous par rapport à nos envies. C’est d’ailleurs presque devenu systématique tant nous avons érigé de barrières. Nous préférons rester dans notre zone de confort, dominés par nos peurs, nos croyances, notre mental, notre ego, lobotomisés par une télévision qui nous baigne dans la négativité et une société dans laquelle tout n’est que compétition et tout est prétexte à se prouver que l’on vaut mieux que l’autre. Nous n’osons plus et nous mourons à petit feu. Nous nous dévalorisons en permanence. Nous ne nous sentons pas capables. Nous pensons que nous ne méritons pas, ou que nous n’y arriverons jamais. Et puis il y a les bien-pensants qui ont toujours une petite phrase pour nous rabaisser ou nous montrer que nous ne sommes pas parfaits.
Aujourd’hui, ce n’est pas la peur de nous planter qui nous habite, mais la peur de réussir.
Alors, je le dis : osez !
Osez être vous-mêmes.
Osez faire les choses qui vous paraissent folles.
Osez briller.
Les énergies qui nous entourent ont changé. Nous sommes de plus en plus incités à nous libérer de nos tracas et de nos soucis pour les confier à l’Univers. Nous sommes de plus en plus poussés à nous écouter et à être en accord avec nos ressentis profonds.
Nous avons tous une guidance intérieure qui, lorsque nous l’écoutons, nous éclaire sur le chemin que nous pouvons suivre. Cette guidance est toujours présente – j’insiste vraiment –, elle est toujours présente. Il n’y a pas un seul instant de notre vie où nous ne sommes pas connectés à notre partie divine.
LanguageFrançais
Release dateJul 22, 2019
ISBN9782366960938
Animus-Anima: Guide de développement personnel

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    Animus-Anima - Stéphane Vaillant

    Et moi, ai-je des dons ?

    De nombreuses personnes viennent me consulter, me racontent qu’on leur a dit qu’elles avaient un don et me demandent ce que j’en pense. C’est aussi vrai pour les personnes en phase d’éveil spirituel et qui commencent à avoir des perceptions subtiles.

    À la lecture de ce post, conservez bien votre capacité de discernement. Bouddha disait : « Doutez toujours de tout et surtout de tout ce que je vous dirai. » Il convient donc de ne pas accepter tel que ce que je vais vous raconter, mais de bien ressentir s’il y a une résonance avec ce que vous pensez. Ce que je vous dis n’est bien sûr pas la vérité, mais juste une vérité.

    N’en déplaise à certains, nous avons toutes et tous des capacités subtiles auxquelles nous avons accès si nous le souhaitons. Le mot « don » ne vient pas d’un choix qui aurait été fait de sélectionner certaines personnes pour leur donner des capacités extrasensorielles laissant sur le bas-côté les non-élus. J’aurais plutôt tendance d’ailleurs à vous dire que le mot « don » se rapproche plus du don de soi. Le don ne se rapporte d’ailleurs pas non plus uniquement aux capacités subtiles mais, dans un spectre bien plus large qu’il n’y paraît, les capacités subtiles sont l’outil qui peut permettre le développement ou l’utilisation du don.

    Entrons dans le vif du sujet.

    En tant qu’êtres incarnés qui viennent tester la matière, nous sommes reliés à notre partie non manifestée (notre âme) par un fil âmique. De fait, nous avons accès en permanence à toutes les informations disponibles dans l’Univers. Étant constamment reliés à notre âme, par définition, nous sommes toutes et tous sans cesse complètement éveillés, et même les personnes qui vous paraissent bien loin de tout ce qui touche au spirituel sont complètement éveillées, sauf qu’elles n’en ont pas conscience.

    Alors, pourquoi se peut-il que je n’aie pas forcément conscience de mes dons ?

    C’est très simple : nous sommes une poupée russe. Eh oui, vous avez bien lu. Et non seulement nous sommes une poupée russe mais, en plus, nous sommes la plus petite. Alors, laissons notre ego de côté quelques instants, si vous le voulez bien.

    Nous sommes certes la plus petite des poupées russes, mais aussi la plus belle, la plus lumineuse, la plus radieuse, la plus divine.

    Sur cette poupée, nous ajoutons la poupée de l’ego, puis celle du mental, celle des croyances, celle de l’éducation, celle des peurs, celle de l’entêtement, celle de l’impatience, celle de la fatigue, celle de nos blessures, celle du stress, celle de la colère, celle des doutes, et la liste est longue…

    Toutes ces poupées sont autant de filtres qui polluent notre canal de perception et qui nous empêchent de recevoir les informations comme nous le devrions.

    Comprenez donc bien que percevoir, ressentir est notre état naturel.

    Pour développer nos capacités subtiles, il faut travailler sur tous ces filtres en élargissant le tamis pour que les informations circulent et que nous puissions les percevoir. Il faut alors réussir à calmer le mental, pacifier son ego, se mettre au clair avec ses croyances, enlever les doutes, etc. Cela peut demander beaucoup de travail et beaucoup de temps en fonction du nombre et de l’importance de nos filtres, mais si on s’y attelle sérieusement, les choses peuvent avancer très vite.

    Cependant, ne nous trompons pas. Même si nous avons tous en nous des capacités subtiles, nous ne nous incarnons pas tous pour les développer et les utiliser. Ce que je veux dire, c’est que même si nous avons tous du magnétisme, nous n’avons pas tous vocation à devenir magnétiseur ; si nous voyons l’avenir car nous avons ouvert notre clairvoyance, ce n’est pas pour cela que nous allons nous installer comme voyants ; si nous ressentons les entités, nous ne devenons pas pour autant tous passeurs d’âmes.

    Les capacités subtiles sont avant tout une aide qui intervient au quotidien, telle l’intuition qui nous fait sentir telle personne, tel lieu ou telle situation de façon positive ou négative, tel le magnétisme également que je peux dégager et qui me permet de rayonner.

    Le don, c’est quoi alors ?

    Le don, c’est savoir utiliser ses capacités pour faire parler sa créativité d’une façon remarquable dans un ou plusieurs domaines bien précis, tel un excellent cuisinier qui, avec seulement quelques ingrédients, vous concoctera un repas merveilleux, telle une infirmière qui calmera puis apaisera, par sa douceur et par ses mots, quelqu’un en état de stress, tel un pilote d’avion qui vous amènera à bon port en dépit de conditions climatiques désastreuses, telle une maman qui rassurera son enfant en pleurs alors qu’il vient de tomber, mais aussi tel un chanteur qui fera pleurer une salle entière par le timbre de sa voix, tel un peintre qui magnifiera un tableau en laissant parler ses ressentis, quelque chose que seuls vous arrivez à faire de façon parfaite.

    Alors, oui, nous avons tous un ou plusieurs dons. Le don, c’est quelque chose qui nous rend unique et particulier et qui nous relie aux autres. Avoir un don, c’est utiliser une capacité de créativité que nous avons en laissant parler notre guidance intérieure pour la mettre au service des autres.

    Il existe cependant un écueil dans lequel nous devons éviter de tomber. En effet, lorsque nous ouvrons les yeux à nouveau et que nous nous réveillons, nous redécouvrons que nous avons en nous des capacités subtiles et nous voulons les développer, le piège étant, participant à des stages et/ou à des conférences, de nous comparer à des personnes spirituellement avancées en espérant obtenir le développement de nos capacités à l’identique.

    Nous sommes tous uniques et, par conséquent, nous ne venons pas tous pour expérimenter la même chose. Le déploiement de nos capacités subtiles est alors orienté par les choix que nous avons faits avant de nous incarner, par notre vécu et par nos dons, c’est-à-dire ce par quoi nous sommes attirés, ce que nous aimons faire. Je dois donc les déployer par ce que je suis, ce que je veux être et non pas par rapport à quelqu’un d’autre. Et plus on aime ce que l’on fait, plus on a la chance d’être dans sa mission de vie.

    Si nous voulons développer nos capacités subtiles puis nos dons, nous devons travailler sur tous nos filtres de manière à purifier notre canal de réception et à le fluidifier. Cela implique bien évidemment d’être à l’écoute de ses ressentis profonds et d’être en alignement, c’est-à-dire en accord avec ce que l’on pense, ce que l’on dit et ce que l’on fait. Plus on est en accord avec soi-même, plus on s’écoute et plus on amène à soi des conditions de permissivité et de réceptivité favorables.

    Laissez-vous aller et essayez, vous verrez qu’au final, c’est bien plus simple qu’il n’y paraît…

    Inlassablement !

    Je voudrais vous raconter l’histoire, dans un futur proche, de cette petite fille qui, chaque année, demande à ses parents de partir en vacances à la mer.

    Mais, chaque année, c’est gênés que les parents répondent négativement, prétextant des difficultés financières.

    En fait, il n’en est rien. Les parents n’emmènent pas leur fille à la mer tout simplement parce qu’il n’y a plus aucune plage dépourvue de déchets plastiques, aucune eau dans laquelle se baigner sans être souillés.

    Quelle vision d’horreur, n’est-ce pas ?

    Et pourtant, c’est bien le futur qui nous attend et bien plus vite qu’on ne le pense si jamais on ne change pas notre façon de fonctionner.

    On sait aujourd’hui qu’en 2050, il y aura plus de plastique dans les océans que de poissons.

    Notre comportement à l’égard de notre planète est tout simplement autodestructeur. Nous sacrifions le règne animal, exploitons les ressources à l’extrême, polluons, détruisons, pillons, assassinons sans le moindre froncement de sourcils.

    Tout cela pour satisfaire notre frénésie de consommation. Il n’y a pas un seul domaine dans lequel nous n’avons pas adopté un comportement de prédateur, un comportement de virus.

    Alors oui, c’est évident, sans changement radical dans nos modes de fonctionnement, nous avons vocation à disparaître, sachant que la population mondiale ne cesse de croître. La moitié de la planète a faim alors que l’autre moitié cherche à maigrir.

    Nous nous sommes laissés endormir par des promesses de vie idéale basées sur des modèles économiques faisant passer l’argent bien avant l’humain.

    Nous sommes dans le Titanic avant l’impact. Nous avons vu l’iceberg, mais nous accélérons pour aller nous fracasser dessus. Nous avons perdu nos valeurs. Comme le disait l’un de mes instructeurs lorsque j’étais militaire : « C’est au pied du mur qu’on le voit le mieux. »

    D’une certaine manière, c’est vrai. Sauf que, dans certains cas, il est parfois trop tard. Cependant, faut-il vraiment attendre d’être au pied du mur pour réagir ?

    Alors que puis-je faire à mon niveau ?

    « Ce que tu feras sera dérisoire, mais il est indispensable que tu le fasses. » Cette merveilleuse citation de Gandhi est parfaitement juste et exacte.

    Si je suis passif et que je regarde avec fatalité ce qui se passe dans le monde, alors, effectivement, il y a peu de chances que le monde change et je n’aurai alors pas à me plaindre.

    Mais j’ai le choix, le choix de ne pas me résigner, le choix de ne pas accepter, le choix de ne pas laisser faire, le choix d’agir. Il n’y a pas de fatalité.

    Et ce n’est pas si difficile que ça.

    Je suis sensible à la cause animale, mais pas encore prêt à devenir végétarien. Ne puis-je pas simplement diminuer ma consommation de viande tranquillement ? Yann Arthus-Bertrand avouait qu’entre le moment où il a commencé à penser devenir végétarien et le moment où il l’est devenu vraiment, vingt années se sont écoulées.

    Si j’insère un repas végétarien par semaine dans mon alimentation, puis deux lorsque je suis prêt, et ainsi de suite, alors je participe déjà à réduire la souffrance animale.

    N’avez-vous pas remarqué comment les gens sont détendus et souriants lorsqu’ils se baladent dans la nature ?

    Tout le monde se dit bonjour et, pourtant, cela n’empêche pas des papiers de bonbons, des mouchoirs ou autres bouteilles de se retrouver à fleurir le sol.

    Suis-je obligé de changer mon téléphone portable qui fonctionne encore très bien pour obtenir le tout dernier modèle ?

    Suis-je obligé de changer mes vêtements parce que ce sont les soldes alors que mon armoire est pleine ?

    En ce qui me concerne, j’ai fait le choix.

    Alors,

    inlassablement,

    j’éteindrai toutes les lumières chez moi

    lorsque je ne suis pas dans les pièces ;

    inlassablement,

    je ferai attention à ne pas prendre de douches interminables

    ou à fermer le robinet plutôt que de laisser couler l’eau

    lorsque je me brosse les dents ;

    inlassablement,

    j’essaierai de réduire ma consommation de viande,

    même si je ne suis pas encore végétarien ;

    inlassablement,

    je ramasserai les papiers que je vois dans la nature

    chaque fois que je me balade ;

    inlassablement,

    je donnerai à des personnes dans le besoin des vêtements,

    des meubles dont je n’ai plus besoin plutôt que de les vendre ;

    inlassablement,

    et même si ce n’est qu’un euro, je donnerai de l’argent

    aux personnes qui demandent dans la rue ;

    inlassablement,

    je tenterai de répondre présent

    chaque fois qu’on me demande de l’aide ;

    inlassablement,

    je tenterai de ne pas gaspiller la nourriture

    et ne la jetterai pas systématiquement,

    même si la date de péremption est dépassée ;

    inlassablement,

    j’inciterai les personnes à avoir une attitude écoresponsable,

    sans être jamais dans le jugement,

    mais tout simplement dans mon comportement ;

    inlassablement,

    j’essaierai d’être un phare qui éclaire.

    Si on me regarde ramasser les papiers dans les bois, cela n’incitera peut-être pas les personnes à faire de même, mais cela les encouragera peut-être à ne pas les jeter.

    Si chacun agit à son niveau, même de façon dérisoire, alors l’effet de masse peut amener de grands changements.

    Loin de moi l’idée de me faire passer pour quelqu’un d’exemplaire et irréprochable, car c’est loin d’être le cas. Mais j’ai effectivement fait ce choix. Ce choix de ne pas rester passif. Ce choix d’essayer de laisser à mes enfants un monde aussi vivable que possible. Ce choix d’essayer de préserver notre merveilleuse nature, ce choix de faire attention.

    Ce n’est peut-être pas grand-chose mais, au moins, j’essaie.

    Je suis persuadé que beaucoup d’entre vous qui lisent ces quelques lignes en sont intimement convaincus et se reconnaissent comme étant déjà dans l’action.

    Le nombre de personnes éveillées aujourd’hui est très important.

    En ce qui concerne la consommation, nous pourrions nous rapprocher de la règle des trois M de Marc Halévy : Moins Mais Mieux. Peut-être pourrions-nous simplement laisser parler la raison et le bon sens…

    N’ayons pas peur de bouger, de passer pour des illuminés ou pour des fous, osons inlassablement faire ce qui nous semble juste et bon. Peu importe ce qu’en pensent les autres ! Et si nous n’osons pas car nous ne sommes pas prêts, alors essayons au moins de ne pas nuire…

    Nous n’avons qu’une seule Terre et, lorsqu’il sera trop tard, alors nous n’aurons plus que nos yeux pour pleurer…

    Et si j’osais…

    Cela fait quelque temps que me trotte dans la tête l’idée de vous faire partager une réflexion issue de mon expérience de magnétiseur et relative au fait qu’un grand nombre de personnes se limitent complètement dans leur vie.

    En effet, au fur et à mesure des consultations, je me suis rendu compte – et m’en aperçois de plus en plus – des blocages limitants que nous nous imposons quasiment tous par rapport à nos envies. C’est d’ailleurs presque devenu systématique tant nous avons érigé de barrières.

    Nous préférons rester dans notre zone de confort, dominés par nos peurs, nos croyances, notre mental, notre ego, lobotomisés par une télévision qui nous baigne dans la négativité et une société dans laquelle tout n’est que compétition et tout est prétexte à se prouver que l’on vaut mieux que l’autre.

    Nous n’osons plus et nous mourons à petit feu.

    Nous nous dévalorisons en permanence. Nous ne nous sentons pas capables. Nous pensons que nous ne méritons pas, ou que nous n’y arriverons jamais. Et puis il y a les bien-pensants qui ont toujours une petite phrase pour nous rabaisser ou nous montrer que nous ne sommes pas parfaits.

    Aujourd’hui, ce n’est pas la peur de nous planter qui nous habite, mais la peur de réussir.

    Alors, je le dis : osez !

    Osez être vous-mêmes.

    Osez faire les choses qui vous paraissent folles.

    Osez briller.

    Les énergies qui nous entourent ont changé. Nous sommes

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