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Et si on inscrivait la joie dans notre ADN ?: Guide de développement personnel
Et si on inscrivait la joie dans notre ADN ?: Guide de développement personnel
Et si on inscrivait la joie dans notre ADN ?: Guide de développement personnel
Ebook259 pages5 hours

Et si on inscrivait la joie dans notre ADN ?: Guide de développement personnel

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About this ebook

Un livre qui offre la possibilité d’une vie heureuse pour tous.

Ce livre est l’ouverture à d’autres dimensions tellement joyeuses et puissantes que votre vie sera nouvelle. Vous saurez utiliser de nouveaux outils de bien vivre, célébrer qui vous êtes et naviguer sur les flots de la vie, même chahutés. Pour cela, l’auteure livre ses cinq axes fondamentaux pour y parvenir : connaître, naître, libérer, créer et oser.
Truffé d’informations et d’exercices, ce véritable guide pratique enseigne la reconnexion à Soi et comment vivre sa vie dans la joie.

Chaque jour est une découverte,
chaque jour est une expérience
et chaque instant devient une joie.

À PROPOS DE L'AUTEURE

Diplômée de l’INSEEC et quelques UV de MBA en poche, Dominique Errard occupe des postes de négociation, d’encadrement et de chef de projet au sein de différents groupes agro-alimentaires. Intuitive depuis l’enfance, elle se forme alors au massage ayurvédique, au Reiki, au Shiatsu, à la méthode Silva, à l’EFT… Elle recherche, expérimente et s’affine auprès de toutes les cultures et traditions des anciens pour finalement s’installer en 2007 et offrir aux petits, aux grands, ainsi qu’au sein des entreprises, ses connaissances et compétences pour les accompagner sur les chemins de la Joie.
LanguageFrançais
Release dateApr 21, 2020
ISBN9782366960990
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    Book preview

    Et si on inscrivait la joie dans notre ADN ? - Dominique ERRARD

    Rodhain

    Les exercices présents tout au long de l’ouvrage son expliqués dans notre dernière partie, intitulée « Oser - Unir nos polarités ».

    Un corps physique

    otre constitution physique est si complexe que je n’ai pas la compétence ni la connaissance pour en détailler l’ensemble. Ici, je propose ce qui a été important pour moi pour comprendre et développer mes potentiels.

    Essentiellement de l’eau

    Nous baignons neuf mois dans de l’eau (le liquide amniotique) avant de naître. Ce milieu aquatique est l’environnement qui participe à notre Création cellulaire et moléculaire unique et unipersonnelle. À la naissance nous sommes constitués à 90 % de liquide, adultes nous passons en moyenne à 70 %, puis à 60 % lorsque nous devenons plus âgés. Pour grandir et évoluer, nous consommons de l’eau tous les jours. Cette ingestion quotidienne alimente en permanence l’ensemble des eaux de notre corps. Vivre en santé implique donc une consommation régulière et suffisante d’une eau saine. L’eau est un des éléments majeurs de notre vie. Elle est répartie différemment suivant les organes.

    Les poumons : 90 %

    Les muscles : 75 %

    Les os : 22 %

    Les tissus adipeux : 10 %

    Le sang : 83 %

    Le cerveau : 70 %

    L’eau est un élément tellement considérable qu’il est vital de le comprendre et d’en découvrir les secrets. L’eau devient même magique si nous y pensons et la consommons différemment. Devenir conscient de l’eau, c’est se pencher sur l’eau que l’on boit et comment on la boit. C’est regarder l’eau qui nous lave et l’eau qui lave. C’est comprendre l’eau qui nourrit et qui abrite le végétal, le minéral, l’animal et l’humain. C’est écouter l’eau de nos lacs et de nos montagnes, l’eau de nos pluies et de nos rivières, l’eau de nos étangs et de nos mers… Toutes les eaux sont essentielles.

    Nous sommes ces eaux et elles sont ce que nous sommes. Un cycle complet du renouvellement de l’eau dans notre corps est de vingt et un jours. Toutes les trois semaines, notre eau est totalement renouvelée. Cela se fait progressivement, jour après jour.

    Si nous souhaitons prendre soin de notre corps, nous devons boire, ni trop ni trop peu. Il est généralement suggéré de boire 1,5 litre d’eau par jour, hors des repas. Boire en mangeant perturbe la digestion des aliments solides. Des scientifiques japonais ont récemment démontré que l’eau régule certains dysfonctionnements physiques ou émotionnels tels que le diabète, les douleurs de « lunes » (c’est tellement plus joli que menstruations ou règles), les douleurs intestinales, la circulation des fluides, le surpoids, les difficultés respiratoires, les maux de tête et les courbatures…

    L’eau ne contient ni protéines ni glucides ni lipides. L’eau n’est donc pas un aliment et ne fournit pas d’énergie brute. En revanche, l’eau est le conducteur de nombre de nos fluides, qu’ils soient internes ou externes. C’est grâce à l’eau que le corps peut utiliser l’énergie présente dans les aliments. Dans l’eau sont nos cellules et dans nos cellules s’inscrit notre ADN. L’ADN est une molécule présente dans l’ensemble de nos cellules. Elle est porteuse d’informations indispensables au développement et au fonctionnement de notre organisme.

    Encodé par l’ADN

    Cet ADN est transmis lors de la création de chaque Être humain. C’est le support d’hérédité qui se transmet et encode l’ensemble des informations génétiques.

    Ces molécules sont le lieu de stockage de nos mémoires familiales. Nos cellules sont le résultat de programmes inscrits profondément dans nos corps et ce depuis des générations.

    Ces empreintes mentales et émotionnelles font partie intégrante de chacun de nous. On peut même dire qu’elles nous constituent. Nous sommes chacun un corps porteur de programmes plus ou moins harmonieux qui nous font penser, parler et agir de telles ou telles façons. Que nous en ayons conscience ou non, que nous le sachions ou non, c’est ainsi. Nous sommes composés d’une mémoire cellulaire invisible très active et transmise de génération en génération.

    Ariane Giacibino, généticienne à l’hôpital de Genève, démontre que lorsqu’un abus, une maltraitance ou des circonstances de vies difficiles sont vécues dans l’enfance, cela modifie l’ADN.

    Le traumatisme s’inscrit et sa trace survit à chaque division cellulaire. Cette modification se transmet jusqu’à trois générations.

    Admettons que la transformation inscrite dans l’ADN de la génération 1, celle qui a vécu le traumatisme soit de 1. Alors on trouve en génération 2, dans l’ADN de l’enfant, la trace du traumatisme divisée par deux, soit 0,5.

    En génération 3, si le choc n’a pas été réglé et dissous, l’ADN de la petite-fille ou du petit-fils sera marqué à hauteur de 4. L’ADN inscrit une transformation, une inscription quatre fois plus importante que celle de la victime elle-même !

    Notons aussi les recherches du biophysicien et biologiste moléculaire Piotr Gariaev qui démontre que notre ADN sert de stockage de données et d’outil de communication. Il a étudié le comportement vibratoire de l’ADN. Avec différentes fréquences issues d’un rayon laser, il réussit à influencer la fréquence de l’ADN et à transformer l’information génétique.

    La substance vivante de l’ADN réagit aux ondes des rayons tels que les ondes radio, les ondes lumineuses et sonores. Nous sommes donc le résultat vibratoire de l’ensemble de ces informations et mouvements. Et ces informations changent constamment.

    Orienté par les glandes endocrines

    Notre système endocrinien est un grand réseau de communications qui assure le bon fonctionnement de l’ensemble de notre organisme. Il se compose de glandes endocrines qui produisent plus de cinquante hormones différentes. Ces hormones transportées via le plasma du sang transmettent des indications aux cellules.

    Les glandes endocrines émettent le message, les hormones le transmettent et les cellules agissent en fonction.

    L’hypothalamus est le chef d’orchestre. Il surveille toutes les hormones. Il émet des signaux qui commandent aux autres glandes de sécréter les hormones. Il maintient l’équilibre global de l’organisme.

    La glande pinéale et la glande pituitaire organisent l’émission et la réception des informations à intérieur et à l’extérieur du corps. La glande pinéale se trouve à la base du cerveau, sous l’hypothalamus. La glande pituitaire est plus au centre, à la base du cerveau. Elles diffusent l’hormone qui régule la veille et le sommeil, gère la sexualité et nombre d’autres fonctions…

    La glande thyroïde, située à l’avant du cou, crée les hormones qui permettent la différenciation de toutes les cellules du corps. Elle joue aussi un rôle dans la combustion de la nourriture, stimule le métabolisme des graisses, des sucres et des protéines.

    Le pancréas, situé derrière l’estomac, sécrète les enzymes digestives. Ces hormones régulent principalement le taux de sucre dans le sang.

    Les deux glandes surrénales, situées au sommet des reins, régulent la concentration de minéraux dans le sang. Elles organisent les mécanismes de défense face au stress et équilibrent ainsi le système immunitaire.

    Les gonades, ovaires pour les femmes et testicules pour les hommes, agissent sur la croissance, le système nerveux central, les tissus, les os, les vaisseaux sanguins et le foie. Elles gouvernent la libido et la reproduction.

    Les glandes endocrines sont les moteurs d’une bonne santé physique et de l’équilibre de nos humeurs. Ces organes sont essentiels à la transformation, à la régulation et à l’harmonisation de notre usine de combustion.

    Outillé d’une antenne : la glande pinéale

    En Occident nous ne faisons pas grand cas de cette toute petite glande située dans notre tête. Elle est pourtant connue depuis des milliers d’années. Il s’agit de la glande pinéale. Elle est de la forme d’une minuscule pomme de pin, située au centre du cerveau. Elle est très sensible aux vibrations. Elle est comme une boule à facettes, constituée de minuscules cristaux réfléchissant la lumière.

    Cet organe est encore considéré par nombre de médecins comme atrophié par sa calcification après l’adolescence et dont les fonctionnalités ne sont pas vraiment définies.

    À l’université de São Paulo, le docteur Sergio Felipe de Oliveira fait des recherches sur les cristaux de la glande pinéale, au moyen de la diffraction à rayons X. Ce travail permet de vérifier que malgré ce qui est communément admis, la glande pinéale ne se calcifie pas nécessairement et qu’elle génère même la formation de structures organisées.

    On peut dire que la glande pinéale réagit aux rayons par la formation de structures organisées qui contrôlent la lumière du corps, et que donc elle contrôle l’action de la lumière sur notre corps. C’est pour cette raison que certains scientifiques suggèrent qu’il s’agit de notre troisième œil. Lorsque l’organisme pituitaire qui entoure la glande pinéale est stimulé, l’intensité des vibrations actionne cette région et éveille la glande pinéale. Cette activité fournit au cerveau une antenne radio émission/réception de vibrations. Je l’appelle notre antenne de « Télétubbies ».

    Ces informations sont enregistrées par la zone du cerveau qui est en charge des activités sensorielles. Ces ondes sont ensuite décodées par d’autres zones du cerveau. Ainsi, notre glande pinéale, notre ADN, nos pensées, nos paroles et nos actes émettent en permanence, consciemment et inconsciemment.

    Nous captons et émettons des milliers d’ondes et de vibrations, tout le temps. À chaque mouvement, à chaque instant, sans que notre mental le comprenne ou le réalise véritablement, notre corps reçoit et émet des vibrations.

    Nous connaissons ces moments où, entrant dans un lieu, nous expirons d’aise, le plexus grand ouvert. D’autres fois, le lieu impose un ralentissement, le dos se courbe, nous protégeons naturellement notre plexus. En entrant dans ces lieux, nous ressentons que l’endroit nous convient ou que nous préférerions être ailleurs, non pas à cause de la déco, mais juste parce que… « on ne le sent pas ». Nous connaissons aussi ces moments où une personne ou un groupe de personnes nous attire, juste parce que ! Nous sentons aussi qu’auprès de certains, nous vivons une gêne, une distance voire un recul.

    Par nature, nous sommes tous dotés d’outils intuitifs qui nous informent. Les personnes dont l’intuition est développée, telles que les médiums, les guérisseurs ou encore ceux qui « voient » les énergies, captent un grand nombre d’informations. Leurs outils de décodage et de traduction des vibrations sont en place, ouverts et actifs. Il est démontré que leur glande pinéale est très active.

    Platon, Descartes, Pythagore et d’autres pensaient que la glande pinéale est le siège de l’âme.

    Un doute sur l’importance de la glande pinéale ? Des preuves sont placées dans toute l’histoire de l’humanité et sur toutes les terres.

    Pour les traditions d’Inde et d’Égypte, la glande pinéale ou l’œil omniscient sont le principal organe du corps. C’est un récepteur et un transmetteur de l’Énergie vitale.

    À Rome, au Vatican, place Saint-Pierre, la sculpture la plus importante est une pomme de pin. © juliacasado1.

    Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, 1789.

    À droite, l’Être suprême, tenant un sceptre et montrant un delta lumineux portant en son centre « l’oeil suprême de la Raison qui vient dissiper les nuages de l’erreur qui l’obscurcissaient » (Jean Ehrard et Paul Viallaneix, Les Fêtes de la révolution: Colloque de Clermont-Ferrand, juin 1974).

    Domaine public.

    Sous nos yeux tous les jours : le caducée d’Hermès

    Pour nous assurer de l’intérêt de tout ce que nous évoquons. Le caducée d’Hermès ou d’Apollon, vous connaissez ? C’est aujourd’hui le symbole de nos médecines. À l’origine, il était le symbole des messagers.

    Il est représenté par un bâton d’olivier, les branches s’enroulant autour du bâton pour figurer les deux serpents entrelacés. Ce bâton est surmonté de deux ailes, symbolisant la vélocité d’Hermès, messager des dieux. Le bâton d’olivier correspond à notre axe, notre colonne vertébrale, du coccyx à la glande pinéale. Les deux serpents correspondent à nos circuits énergétiques yin et yang, féminin et masculin, unifiés dans l’équilibre, connectés au sommet du bâton à la glande pinéale. Les ailes sont l’ouverture aux nouvelles ondes qu’offrent une glande pinéale active et un cœur allégé.

    Le caducée réalise l’équilibre féminin/masculin en chacun, offrant la clarté de la glande pinéale.

    Prendre soin de sa glande pinéale

    La glande pinéale capte et le cerveau traduit, correctement ou non, les informations reçues. Nous pouvons tous « entendre » ce que nos intuitions disent et traduire « correctement »

    les informations reçues, lorsque la réception s’effectue dans un corps harmonisé.

    La glande pinéale est dite « calcifiée » après notre adolescence. Cela signifie que sur les cristaux de la glande pinéale se fixent des dépôts. Petit à petit, les cristaux sont neutralisés et n’exercent plus leur action de luminescence.

    Cette calcification vient principalement du fluorure. Le fluorure se trouve un peu partout notamment dans l’eau du robinet, dans certaines eaux en bouteilles, dans certains aliments, dans les dentifrices (on en trouve exceptionnellement sans fluor), dans nombre de médicaments et notamment les

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