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Livre Six - Surnaturelle: La Vie De William Branham: Le Prophète Et Sa Révélation (1961 - 1965)
Livre Six - Surnaturelle: La Vie De William Branham: Le Prophète Et Sa Révélation (1961 - 1965)
Livre Six - Surnaturelle: La Vie De William Branham: Le Prophète Et Sa Révélation (1961 - 1965)
Ebook454 pages5 hours

Livre Six - Surnaturelle: La Vie De William Branham: Le Prophète Et Sa Révélation (1961 - 1965)

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About this ebook

Si WILLIAM BRANHAM hubiera sido solo un gran evangelista con un ministerio adicional en la curación por la fe, su historia habría terminado en la víspera de Navidad de 1965. Las generaciones futuras habrían leído sobre su vida con curiosidad y fascinación, de la misma manera que leemos sobre los grandes evangelistas de siglos an

LanguageFrançais
Release dateApr 1, 2021
ISBN9781955401418
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    Livre Six - Surnaturelle - Owen Jorgensen

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    SURNATURELLE

    La Vie de

    William Branham

    Livre 6

    Le Prophète Et Sa Révélation

    (1961 - 1965)

    Owen Jorgensen

    SURNATURELLE:

    La Vie de William Branham

    Livre 6:La Boy and His Deprivation

    (1909-1933)

    Droits d’auteur © 2021

    Tous les droits sont réservés. Aucune partie de ce livre ne peut être reproduite sous quelque forme que ce soit sans avoir obtenu au préalable l’autorisation écrite de l’éditeur.

    ISBN: 978-1-955401-41-8

    Publié par: Supernatural Christian Books

    560 S 8th St. Silsbee, Texas 77656

    william@supernaturalchristianbooks.com

    +1 409 234 3921

    Distribué par: Supernatural Christian Books

    Quelque part dans le monde, un adolescent sincère cherche des réponses à des questions telles que: Dieu existe-t-il vraiment? Si oui, qui est-il?

    Et où est-il? Et ce Dieu s’intéresse-t-il à ma vie?

    A vous, jeune chercheur, ce livre est dédié. Pour une fois j’étais

    INTRODUCTION

    Vingt-cinq ans se sont écoulés depuis SURNATURELLE: La Vie De William Branham a été imprimé pour la première fois en 1993. Son lectorat et son influence continuent de croître. Rédigé en anglais, il est désormais traduit dans plus d’une douzaine de langues. Certaines de ces langues sont largement parlées, comme le chinois, le français, l’allemand, le russe et l’espagnol. Mais les habitants des petits pays ont également souhaité le partager, le traduisant dans des langues aussi diverses que le norvégien, le farsi et le vietnamien.

    À l’automne 2015, j’ai parcouru l’Europe de l’Est où j’ai rencontré certains de ces traducteurs. En partant d’Allemagne, j’ai visité la République tchèque, la Slovaquie, la Pologne, la Croatie, la Roumanie et la Hongrie. Je n’ai jamais demandé à personne de traduire ma biographie de William Branham. Les gens voient simplement sa valeur et font du bénévolat. Au cours des six derniers mois, j’ai reçu une demande de la Suède pour le traduire en suédois et du Pakistan pour le traduire en ourdou. La liste des langues ne cesse de s’allonger. Cette biographie est devenue un projet mondial. (Mes sincères remerciements à tous ceux qui ont contribué à ce projet à quelque titre que ce soit.) Un homme au Zimbabwe a même développé une application pour que ces livres puissent être lus ou écoutés gratuitement sur un téléphone intelligent pour aider ceux des pays défavorisés.

    Pourquoi y a-t-il tant d’intérêt pour la vie de William Branham? Bien sûr, c’est une histoire passionnante - l’une des histoires vraies les plus intrigantes que vous ayez jamais lues. Mais il y a beaucoup d’histoires intéressantes dans le monde. Qu’est-ce qui distingue cette histoire? La raison est simple. Son histoire parle au cœur d’une manière que très peu d’autres choses font. Il semble que les gens s’appliquent indéfiniment à leur propre vie - à tel point que beaucoup le lisent plus d’une fois. Avec quelques réflexions et prières supplémentaires, l’histoire de William Branham peut répondre à nombre des plus grandes questions de la vie, à la fois spirituelles et pratiques.

    En fin de compte, ce sont probablement les réponses éternelles qui sont les plus convaincantes. Je l’ai trouvé dans ma vie. J’espère que vous aussi.

    -Owen Jorgensen, 2018

    CONTENTS

    Introductionvii

    82. La Révélation De Jésus-Christ11

    83. La Nature De Dieu Expliquée 31

    84. L’accomplissement Des Visions Des Contrées Sauvages 45

    85. Son Fusil Explose 65

    86. Une Vision D’anges 79

    87. L’épée Du Roi 95

    88. L’ouverture Des Sceaux 107

    89. Sa Dernière Grande Tentation 141

    90. Des Sermons, Telles Des Voix De Tonnerres 157

    91. L’arrêt D’un Blizzard 171

    92. Tremblement De Terre 189

    93. La Mission D’éliézer 209

    94. La Colombe Et L’aigle 235

    95. Ses Derniers Jours 251

    Sources Et Notes De Fin271

    A Propos De L’auteur287

    CHAPITRE 82

    LA RÉVÉLATION DE JÉSUS-CHRIST

    1960 - 1961

    DIMANCHE MATIN, le 8 mai 1960, William Branham vécut une des expériences les plus étranges de sa vie extraordinaire. Vers 7 h du matin, il se réveilla d’un rêve qui lui faisait penser au paradis. Ceci le poussa à se demander combien d’années il lui restait pour servir le Seigneur Jésus. Il n’avait que 51 ans, mais son père était décédé à 52 ans. En effet, Charles Branham avait été un alcoolique, ce qui avait largement contribué à son mauvais état de santé et à sa mort prématurée. Bien que Bill n’eut jamais pris d’alcool de sa vie, il savait bien que la meilleure moitié de sa vie s’était déjà écoulée. Avait-il accompli tout ce que Dieu avait voulu de lui?

    Comme il se demandait ce que ce serait d’être mourant, il entendit une voie désincarnée lui demander : Aimerais-tu voir l’autre côté du rideau du temps?

    Bill répondit : Cela m’aiderait tellement !

    En un clin d’œil, il fut soulevé de son lit et il fut transporté à travers le mince voilage qui sépare les deux mondes. Il vit alors un paradis où des centaines de milliers de jeunes gens l’entouraient en s’écriant à l’unisson : Notre précieux frère! Bill fut étonné d’apprendre que tous ces gens étaient ses convertis, morts en Christ et qu’ils attendaient le moment où Christ les ramènerait sur terre - bien entendu, une terre améliorée où règnent la paix et la bonté. Bill ne voulait pas quitter ce paradis pour retourner à son ancienne demeure, mais Dieu avait encore du travail pour lui sur terre, alors il devait y retourner.1

    Deux semaines après cette expérience, il parla à son église du contraste qui existe entre ces deux mondes. Cet endroit-là est tellement plus agréable que celui-ci, disait-il. Honnêtement (et je parle en connaissance de cause, car je l’ai vu de mes yeux vu), je peux vous dire qu’au moment où cette vie-ci se termine, nous entrons dans un pays plus merveilleux que tout ce que vous pourriez imaginer. S’il se trouvait des étrangers parmi nous ce soir, la prière de mon cœur est que vous ne me preniez pas pour un fanatique. Je veux être honnête et vous dire la vérité. Que me vaudraient de vous raconter des mensonges? Paul fut ravi au troisième ciel et il vit des choses qu’il ne lui était pas permis d’exprimer.2 Il nous a tout de même fait part de ceci : Ce sont des choses que l’œil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues, et qui n’ont point monté au cœur de l’homme, des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l’aiment. 3

    Comparativement à ce paradis-là, nous vivons dans un dépotoir, tout simplement dans une décharge d’ordures remplie d’immondices fumantes et malodorantes. Même si nous ne sommes pas contaminés comme tel, nous vivons au milieu de cette décharge respirant la fumée des cendres fumantes du péché. Lorsque j’étais jeune homme, je travaillais pour la compagnie d’électricité et je devais parfois aller lire les compteurs situés près du dépotoir municipal. Je redoutais cet itinéraire, car l’odeur était horrible, surtout lorsque les déchets étaient en train de brûler. Si l’on compare cette vie-ci au paradis que j’ai eu l’occasion de contempler, la vie sur cette vieille terre sent tout aussi mauvais qu’un vieux dépotoir municipal. Spirituellement parlant, le péché empeste de toutes parts. Mais là-bas, dans cette autre dimension, souffle un vent de fraîcheur. Tout n’y est qu’amour, joie et vie éternelle ; juste là, de l’autre bord de la rivière.

    Mais comme nous sommes actuellement au combat, nous ne devons pas nous relâcher en disant : Je suis pressé de me retrouver de l’autre bord. Amenons plutôt avec nous autant d’individus que possible.

    Inspiré par cette expérience au-delà de la mort, Bill prêcha quatre sermons consécutifs traitant de l’héritage chrétien : L’épître aux Éphésiens est comparable au livre de Josué, Les Fils de Dieu manifestés, La position en Christ et L’adoption. Ce n’était pas sur l’avenir qu’il insistait. Il mettait plutôt l’accent sur les ressources que Dieu avait déjà données à Ses enfants qui vivent de ce côté-ci du voile ; ressources qui leur permettaient de se préparer pour leur demeure future. Il insistait aussi sur la sécurité et l’assurance dont le croyant jouissait en Christ. Il prêcha chacun de ces quatre messages en mai 1960, au Branham Tabernacle de Jeffersonville, le seul endroit où il se sentait vraiment à l’aise pour traiter les questions plus profondes de la doctrine chrétienne. Il disait : "Je veux que vous vous souveniez, vous qui écoutez les bandes, que ceci s’adresse à mon église. Lorsque je suis ailleurs et que je prêche un sermon évangélique devant un public mixte, je tâche d’être un gentleman et de les dorloter un peu en restant avec leurs idées de petit-lait écrémé. Mais quand il s’agit d’établir la vérité toute crue, ici, je me permets de l’établir.

    Au mois de juillet 1960, il commença une série de campagnes de guérison par la foi dans les états du Nord-Ouest, en bordure de l’océan Pacifique. Il prêcha huit soirs à Klamath Falls, en Oregon, puis quatre soirs à Lakeport, en Californie. Il conduisit ensuite 400 milles [environ 640 km] pour se rendre à Yakima, dans l’état de Washington, pour y tenir une campagne de huit jours. Comme Dieu lui avait maintenant procuré la force nécessaire pour tenir bon et endurer la pression de son don spécial, il était capable de discerner les cœurs d’un plus grand nombre de personnes dans la ligne de prière chaque soir. Par conséquent, il se mit à se surmener comme autrefois. Chaque soir, il s’enlisait un peu plus dans un gouffre de lassitude. Parfois, il ne se souvenait même plus dans quelle ville il était en train de prêcher. À la fin de cette tournée éreintante des états du Nord-Ouest, il avait sombré dans un tel état d’épuisement qu’il ne savait même pas s’il arriverait à s’en sortir.

    Sur le chemin du retour, Gene Goad et Leo Mercier, qui l’avaient accompagné pour enregistrer ses réunions, conduisaient la voiture à tour de rôle afin de permettre à Bill de dormir. Cependant, Bill n’arrivait pas se reposer du tout. Lorsqu’ils entrèrent dans l’état de Washington, il demanda à Leo de s’arrêter sur le bord de la chaussée. Bill sortit de la voiture et s’éloigna un peu de l’autoroute. Il s’agenouilla sous un arbre et pria : Seigneur, si Tu me permets de revenir à mes sens et de reprendre tous mes esprits, je Te promets de réexaminer mon ministère. Aide-moi à reconnaître la vérité afin que je puisse m’acquitter correctement de la commission que Tu m’as confiée auprès des gens.

    Comme d’habitude, à son retour à Jeffersonville, il ne pouvait pas se reposer à la maison à cause du grand nombre de personnes qui sollicitaient ses prières. Il partit donc le lendemain, direction Elkhorn City, au Kentucky, à quelque 200 milles [environ 320 km] au sud-est, pour séjourner quelque temps chez ses amis Charlie et Nellie Cox. Charlie Cox était le beau-frère par alliance de Banks Wood, Ruby Wood étant la sœur de Charlie. La famille Cox habitait à la campagne à quelques milles [kilomètres] à peine de la frontière entre le Kentucky et la Virginie. Bill passa plusieurs jours à parcourir les contreforts du massif des Appalaches, chassant l’écureuil, se délassant, réfléchissant et priant.

    Il se remémora cette nuit de 1946 où l’ange du Seigneur l’avait rencontré face à face pour la première fois et lui avait annoncé qu’il était ordonné pour apporter un don de guérison divine aux peuples de la terre. L’ange lui avait dit qu’il lui serait donné deux signes pour prouver qu’il était vraiment commissionné par Dieu. Il avait rapidement découvert que le premier signe était, en raison de la nature même de celui-ci, physiquement épuisant — de tenir les mains des malades et de sentir les vibrations de leurs maladies mortelles se propager le long de son bras jusqu’à son cœur. À cette époque-là de son ministère, il priait pour des centaines de personnes chaque soir, jusqu’à ce qu’il devienne étourdi et qu’il manque de s’évanouir sous l’effet de la fatigue. Le deuxième signe s’était avéré encore plus exigeant physiquement que le premier. Lorsque l’onction du Saint-Esprit commençait à discerner les maux des gens, chaque vision lui siphonnait tellement d’énergie qu’il ne pouvait pas prier pour plus de 15 à 20 personnes par soir. Au fil des ans, il avait souvent demandé à Dieu de retirer cet obstacle et de lui donner la force nécessaire pour prier pour plus de personnes chaque soir de ses réunions de campagnes de guérison. Au mois de février 1955, Dieu lui avait donné une vision d’une femme portant une robe brune qui tenait un bébé mourant dans ses bras. La vision montrait que l’enfant serait guéri. À ce moment-là, l’ange du Seigneur lui avait dit : Lorsque tu verras ces choses se produire, ton ministère changera.

    Au printemps de 1959, pendant une réunion de guérisons par la foi qu’il tenait à Chicago, cette femme à la robe brune s’avança dans la ligne de prière exactement comme la vision avait prédit qu’elle le ferait. Dès que son bébé fut guéri, Bill sentit son énergie monter en flèche. La prochaine vision ne lui sapa pas autant d’énergie et à partir de ce moment-là, il put prier pour plus de gens à chacune de ses soirées de réunion.

    Mais cette bénédiction ne s’avéra pas être ce qu’il avait espéré. Il était vrai qu’avec une plus grande endurance il pouvait prier pour plus de gens à chaque réunion. Cependant, on aurait dit que les lignes de prière s’allongeaient à n’en plus finir. Inévitablement, il en arrivait toujours à un point où ses forces le quittaient. Pendant sa dernière campagne à Yakima, il avait reçu pas moins de cinquante visions par soir! Cinquante discernements surnaturels... et chacun d’une parfaite exactitude. Est-ce que cinquante miracles avaient réussi à affermir la foi des gens pour croire aux promesses de Dieu plus que ne l’avaient fait quinze miracles? Non, pas du tout. Lorsqu’il finit par manquer de forces pour continuer la ligne de prière à Yakima, il y avait encore des centaines de personnes qui réclamaient des discernements surnaturels supplémentaires.

    À présent, assis à flanc de coteau, au Kentucky, pour contempler le soleil qui se levait au-dessus du massif des Appalaches, il réalisait qu’il s’était trompé à propos de sa commission originelle. Au départ, Dieu l’avait commissionné à prier pour les malades. L’ange lui avait dit que s’il parvenait à amener les gens à le croire, aucune maladie ne pourrait tenir contre ses prières. Lorsqu’il avait contesté le fait que les gens ne le croiraient pas à cause de son humble statut social, Dieu lui avait alors ajouté deux signes pour prouver que sa commission venait bel et bien de Lui. Mais un signe [le mot sign, en anglais, signifie également un panneau indicateur] n’est pas la destination elle-même. Le panneau indicateur ne fait qu’indiquer le chemin à parcourir pour parvenir à sa destination. Il pouvait voir son erreur maintenant : il avait mis l’accent sur le signe au lieu de le mettre sur la commission elle-même. Il était temps de corriger le tir. Bill pria : Dieu, pardonne-moi. Donne-moi la chance de me relever et d’essayer à nouveau. Aide-moi, Seigneur. Permets-moi de conduire ce peuple et de l’établir dans Ta Parole afin que nous puissions traverser le Jourdain et entrer dans la Terre Promise, là où la grande Église rachetée de Dieu sera sauvée et ne péchera plus.

    Bill passa le reste de la journée à se promener à travers les fourrés épais et les collines verdoyantes. Il marchait un peu, s’assoyait un bout de temps, marchait encore un peu, puis se rasseyait encore un bout de temps, priant, réfléchissant, se délassant. Il arriva à la maison de Charlie à peu près au moment où Nellie s’apprêtait à servir le dîner. Bill avait l’intention de retourner chez lui dès le lendemain.

    Cette nuit-là, il eut de la difficulté à dormir. Il se leva vers les 3 h du matin pour prier. À la lueur feutrée d’une lampe incandescente, il arpenta lentement la chambre de long en large. Soudainement, il se mit à frissonner. Levant les yeux, il fut surpris de voir un sinistre individu à la peau noire se tenant debout devant lui. Il n’était pas noir comme un Africain ; sa peau était plutôt gris charbon et plissée comme du fer forgé. L’homme bondit sur Bill et lui empoigna le cou de ses grandes mains semblables à des griffes. Bill se débattit pour échapper à sa poigne de fer, mais il n’y arrivait pas. Ainsi étranglé, il sentait sa vie s’écouler lentement. Puis il réalisa qu’il tenait un couteau dans la main droite. En désespoir de cause, il enfonça la lame dans l’abdomen de l’homme noir, mais la lame était trop courte et ne parvenait pas à percer cette peau métallique. À la dernière des dernières minutes, lorsqu’il lui semblait ne pouvoir survivre que quelques secondes de plus, une lumière vive passa comme un éclair à travers la pièce faisant reculer l’homme noir. Bien que Bill ne sut jamais comment le Seigneur Jésus avait fait pour le sortir de cette impasse, force est d’admettre qu’Il était intervenu en sa faveur et qu’Il l’avait sauvé.

    Le cœur encore tambour battant sous l’effet de l’adrénaline, Bill s’assit sur le bord du lit, et considéra longuement la vision. Il croyait bien que l’homme noir à la peau hideuse et métallique représentait la poursuite judiciaire du fisc américain. Le gouvernement fédéral disait qu’il devait payer des impôts sur toutes les contributions perçues lors de ses campagnes même si celles-ci n’étaient utilisées que pour défrayer les coûts inhérents aux campagnes et qu’aucuns fonds n’étaient versés à son compte personnel. Bien qu’il n’avait rien fait de malhonnête ou d’illégal, les enquêteurs gouvernementaux essayaient toujours de prouver qu’il en avait commis. Cette affaire s’éternisait depuis bientôt cinq ans et spirituellement parlant, elle brimait son ministère. À présent, il savait que le Seigneur le libérerait de cette poigne de fer gouvernementale.

    Tandis que l’été se muait graduellement en automne, septembre ne semblait pas vouloir se départir des chaleurs du mois d’août. Lors d’une de ces nuits chaudes et humides, Bill se tournait et se retournait dans son lit pendant des heures, incapable de dormir. Vers 3 h du matin, en ce mardi 6 septembre 1960, il sortit du lit pour aller se chercher un verre d’eau. Puis il se mit à arpenter lentement la salle de séjour, priant, les yeux fixés sur le plancher pendant qu’il faisait les cent pas. Comme cela lui était si souvent arrivé auparavant, il sentit une présence surnaturelle entrer dans la pièce avant même qu’il ne la voie. Un frisson lui parcourut le dos. Cette fois-ci, lorsqu’il leva les yeux, il vit un Homme resplendissant, semblable à une éclatante lumière blanche. Ce n’était pas l’ange du Seigneur qui avait coutume de le visiter pendant qu’il priait. Bill ne savait pas de Qui il s’agissait, mais Sa présence le terrifiait tout autant que celle de l’homme noir qui l’avait visité deux semaines auparavant... mais d’une autre manière. Dans la présence de cet Homme-ci, Bill ne se sentait pas menacé. La pièce avait tremblé à la voix de cette Présence Divine. Bill était tellement abasourdi qu’il n’arrivait pas à bien saisir les mots qu’Il avait prononcés. Soit que l’Homme avait dit : Encore sept jours, et tu te tiendras comme Moïse s’était tenu ou encore avait-il dit : Tu seras tel que Moïse était, enfin, quelque chose concernant Moïse.

    Le dimanche suivant, le 11 septembre 1960, Bill prêcha un sermon intitulé : Je serai avec toi comme J’ai été avec Moïse. Il voulait prêcher ce sermon depuis 1952 déjà, depuis la fois où la main désincarnée était descendue dans sa chambre, avait ouvert les pages de sa Bible au chapitre premier du livre de Josué et lui avait montré du doigt les versets 2 à 9. Au fil des ans, Bill avait relu ces versets fréquemment, croyant qu’ils devaient certainement receler une signification spéciale pour son ministère. Ce dimanche était cependant la première fois qu’il les utilisait en tant que texte d’un sermon. Il lut : Moïse mon serviteur est mort. Maintenant, lève-toi, passe le Jourdain, toi et tout ce peuple, pour entrer dans le pays que je donne aux enfants d’Israël... Nul ne tiendra devant toi, tant que tu vivras, comme j’ai été avec Moïse, je ne te délaisserai point, je ne t’abandonnerai point. Fortifie-toi et prends courage, car c’est toi qui mettras ce peuple en possession du pays que j’ai juré de leur donner.

    Josué savait qu’il s’agissait d’une grande commission, leur dit-il, mais c’est avec assurance qu’il pouvait être audacieux, voire téméraire, tant et aussi longtemps qu’il se dirigeait dans la bonne direction. De même, l’église du Dieu Vivant peut être audacieuse et téméraire dans sa foi, si elle se dirige, elle aussi, dans la bonne direction. Dieu a dit : Comme J’ai été avec Moïse, Je serai avec toi. Je ne te délaisserai point, Je ne t’abandonnerai point. Il n’a pas abandonné ni Moïse ni Josué. Il ne nous abandonnera pas non plus. Il sera avec nous.

    Bill enseigna que Josué avait même eu plus à faire que Moïse. Josué avait dû conquérir la terre promise progressivement, étape par étape, tout en la partageant équitablement entre les gens de son peuple. Lorsque Moïse avait conduit les Israélites hors d’Égypte, il était le type de Jésus-Christ libérant Ses enfants de la servitude du péché. Lorsque Josué avait conduit les Israélites dans la Terre Promise, de l’autre côté du Jourdain, il était le type du Saint-Esprit conduisant les chrétiens vers une vie remplie de l’Esprit, là où ils peuvent vivre victorieusement malgré tous les efforts déployés par Satan pour les vaincre. La Terre promise où Josué entra n’était pas un type du paradis, ni même un type du règne de Christ lors du millénium ; cela ne se pouvait pas, puisque les Israélites devaient se battre pour chaque pouce (cm) de terrain. La conquête de la Terre Promise était bien plus un type du chrétien devant lutter pour hériter de toutes et de chacune des promesses de Dieu, depuis le baptême du Saint-Esprit, jusqu’à l’enlèvement de l’Épouse de Jésus-Christ.

    Bill fit remarquer que même si Moïse avait commis des erreurs, Dieu avait continué à l’utiliser puisqu’il avait été ordonné pour cette tâche. Puis, Bill admit sa propre erreur en expliquant à son assemblée comment le Seigneur lui avait révélé qu’il avait trop insisté sur le signe [le panneau indicateur] au détriment de la destination en tant que telle. Dieu lui avait assigné trois commissions spécifiques au cours de ses années consacrées à l’évangélisation. La première avait été d’apporter un don de guérison aux peuples de la terre. Sa deuxième avait été de faire l’œuvre d’un évangéliste, en mettant l’accent sur la saine doctrine. Sa troisième commission serait de faire connaître l’héritage spirituel qui revenait à l’église, ajout qui ne venait en rien modifier les deux autres commissions. Sans trop savoir comment il avait fait son compte, il s’était légèrement éloigné de la commission originelle par laquelle il devait prier pour les malades... simplement prier pour eux. Bill dit : Dieu ne peut jamais S’éloigner de Sa commission. En effet, cela fait maintenant quatorze années consécutives que j’apporte des discernements à travers le monde entier. J’ai dû recevoir des dizaines de milliers de visions, peut-être même un million, et je vous demande ceci : avez-vous déjà vu une seule fois où un discernement n’ait pas fonctionné? Non, monsieur. Alors, si le panneau indicateur n’a même pas été capable d’échouer, à plus forte raison, la véritable commission ne le pourra pas non plus. Le signe n’est qu’accessoire. Si le panneau de signalisation (qui ne fait qu’indiquer la direction à prendre pour se rendre à bon port) ne faillit jamais à la tâche de vous indiquer que la ville se trouve bel et bien par-là, comment ne pourriez-vous pas être certains que la ville est vraiment là, si vous y mettez les pieds vous-mêmes? La voilà la commission!

    Mon ministère est en train de changer. En fait, les changements ont déjà commencé à se faire sentir. J’utiliserai encore le discernement lorsque je sentirai que Dieu me conduit à en faire usage, mais de plus en plus, je ne ferai qu’imposer les mains aux malades et je prierai. Je désire respecter la commission qui m’a été donnée. J’ai longtemps patienté pour ce jour, mais là je crois que nous sommes prêts à prendre possession de la Terre Promise.

    Croyez-le et vivez! Croyez-le, et que votre santé soit rétablie! Je ne peux pas forcer quiconque à le croire. Vous devrez y croire vous-mêmes. Je vous ai dit la vérité. Dieu a authentifié que c’était la vérité : par Sa Parole, par Son Ange, par Ses signes et Ses miracles au cours de ces 14 longues années. S’ils ne le croient pas maintenant, ils ne le croiront jamais. Mais je suis las de rester sur cette montagne. Je veux traverser le Jourdain. Je veux entrer dans la totalité des promesses de Dieu.

    UN PEU PLUS TARD À L’AUTOMNE, William Branham et Banks Wood se rendirent à Elkhorn City, au Kentucky. Charlie Cox les avait invités à passer quelques jours chez lui. Bill voulait prendre un peu de temps pour chasser l’écureuil avant la fin de la saison de chasse de 1960. Un matin, Banks le déposa près d’un petit boisé à environ quatre milles [6,5 km] de la demeure de Charlie. Comme Banks repartait en voiture, Bill entendit un chien japper au loin, à l’autre extrémité du bois. Le jappement fort et discordant s’éloigna graduellement, devenant de plus en plus faible au fur et à mesure que les minutes passaient.

    Si quelqu’un est passé ici avec un chien, pensa-t-il, il ne me sert à rien d’essayer de chasser pour quelque temps. Les écureuils seront blottis dans leurs cachettes. Je vais juste m’asseoir ici un petit moment et attendre qu’ils s’activent de nouveau

    Il sortit sa Bible de sa gibecière, s’assit dans l’herbe sèche et s’adossa à un poteau de clôture. Avant même qu’il n’ait eu le temps d’ouvrir sa Bible, une Voix se fit entendre, disant : Lève-toi et rends-toi à l’endroit que tu appelles le creux du sportif. C’est là que Je te parlerai.

    Obéissant à la Voix, il se leva et marcha vers le creux du sportif qui se trouvait à environ un mille [1,5 km] plus loin. Vous n’auriez pas pu trouver le creux du sportif sur aucune carte topographique. C’est Bill qui l’avait ainsi surnommé. Un jour, alors qu’il était à la chasse à cet endroit, il avait vu 16 écureuils dans un seul et même arbre. Il avait tué le quota réglementaire qui lui revenait et il avait laissé les autres indemnes, ce qui était la chose franc-jeu et sportive à faire. De là, le nom qu’il lui avait donné.

    Mais il n’y avait pas d’écureuils dans le creux du sportif ce jour-là. Bill s’assit sous un chêne, s’attendant à ce que le Seigneur lui adresse la parole immédiatement. Les minutes passèrent, mais il n’entendait que le sifflement du vent à travers les branches dénudées ou encore le bruissement des feuilles mortes que le vent faisait tourbillonner au ras du sol. Le froid lui pinçait les oreilles. Il s’allongea de tout son long sur un tapis de feuilles, face contre terre, et pria. Au bout d’une demi-heure, il s’assit de nouveau et s’adossa au chêne. Un silence mystérieux régnait, comme si la forêt abritait un secret. Il pouvait ressentir la présence du Saint-Esprit qui se rapprochait graduellement en résonance avec la nature, comme un écho lointain qui répétait une équation parfaite :

    Deux fois deux font quatre ;

    (puis en s’approchant)

    Deux fois deux font quatre ;

    (puis en se rapprochant encore)

    Deux fois deux font quatre ;

    Deux... fois... deux... font... quatre ;

    Deux fois deux font quatre!

    Soudainement, Bill entendit encore cette voix aussi clairement qu’il pouvait entendre le bruissement des feuilles dans le vent. C’était une voix grave dont la tonalité et l’inflexion étaient parfaites. Et elle disait : Lis le chapitre quatre de Malachie.

    Bill ouvrit sa Bible au quatrième chapitre de Malachie, appuyant légèrement son pouce sur la page pour la retenir et l’empêcher d’être emportée par le vent frisquet de l’automne. C’était un chapitre très court, ne contenant que six versets. Il lut le cinquième et le sixième verset à voix haute : Voici, je vous enverrai Élie, le prophète, avant que le jour de l’Éternel arrive, ce jour grand et redoutable. Il ramènera le cœur des pères à leurs enfants, et le cœur des enfants à leurs pères, de peur que je ne vienne frapper le pays d’interdit.

    Oui, dit-il songeur, je crois cela. Mais que signifient ces deux expressions : ramener le cœur des pères à leurs enfants, et le cœur des enfants à leurs pères?

    Il tourna alors dans Luc 1:17 et lut la prophétie de l’ange concernant Jean-Baptiste : "Il (Jean) marchera devant Dieu (Jésus) avec l’esprit et la puissance d’Élie, pour ramener les cœurs des pères vers les enfants, et... et... (il sentait l’excitation le gagner) les rebelles à la sagesse des justes... Elle était là, sa réponse! Telles des fleurs déployant leurs pétales pour révéler leur splendeur, ces versets s’ouvraient maintenant pour révéler la vérité. Jean-Baptiste avait effectivement ramené les cœurs des pères à leurs enfants en dirigeant l’attention des Juifs au-delà de la foi de leurs pères, vers une nouvelle foi libératrice en Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Mais dans Luc 1:17, lorsque l’ange citait Malachie 4:6, il s’était arrêté à mi-verset. L’ange n’avait pas terminé le verset parce que la suite de Malachie 4:6 ne s’appliquait pas au ministère de Jean. Il était en réserve pour le futur Élie, celui qui ramènerait les cœurs des enfants vers les cœurs de leurs pères. En d’autres mots, cet Élie de l’arrière-saison tournerait l’attention des chrétiens des derniers jours vers la foi que les pères apostoliques avaient établie dans l’Église du Nouveau Testament.

    Cela expliquerait pourquoi, lorsque les pharisiens avaient demandé à Jean s’il était Élie, Jean leur avait répondu que non.4 Jean voulait leur indiquer qu’il n’était pas l’Élie de Malachie 4:6b. Non, il n’était pas l’Élie qui devait être le précurseur de la seconde venue de Christ. Cet Élie-là viendrait juste avant le grand et redoutable jour du Seigneur, après quoi la terre brûlerait comme un four.

    Jésus aussi avait parlé de ces deux venues distinctes d’Élie. Les disciples lui posèrent cette question : pourquoi donc les scribes et les pharisiens disent-ils qu’Élie doit venir premièrement? Il répondit : il est vrai qu’Élie doit venir, et rétablir toutes choses. Mais je vous dis qu’Élie est déjà venu, qu’ils ne l’ont pas reconnu, et qu’ils l’ont traité comme ils ont voulu. De même, le Fils de l’homme souffrira de leur part. Les disciples comprirent alors qu’Il leur parlait de Jean-Baptiste.5 Au moment où Jésus leur avait dit ces choses, Jean était déjà mort. Alors, lorsque Jésus disait : Élie doit venir premièrement et rétablir toutes choses., Il se référait à un événement futur. Qui plus est, Jean n’avait pas rétabli quoi que ce soit. Il était un messager, annonçant la venue du Messie. Ce futur Élie, lui, aurait un ministère de restauration tout juste avant la seconde venue de Christ.

    Puis, pour une dernière fois ce jour-là, il entendit la Voix caractéristique faire écho dans le creux. Elle disait : Lis dans l’Apocalypse, chapitres un, deux et trois.

    Tournant dans le dernier livre de la Bible, Bill commença à lire tel que la Voix le lui avait ordonné. Versets après versets, de nouvelles révélations semblaient lui sauter aux yeux, comme si le soleil s’était suffisamment élevé pour dissiper la brume matinale... Il pouvait maintenant saisir le sens de chaque verset très clairement.

    De retour à Jeffersonville, il programma une semaine de réunions spéciales pour le début du mois de décembre afin de partager ce que le Seigneur lui avait révélé. Entre-temps, il consolida ses connaissances d’histoire en révisant les écrits de Josèphe et de Broadbent, ainsi que Les deux Babylones de Hislop, Le livre des martyrs de Fox, L’histoire de l’Église de Hazeltine, Comment cela est-il arrivé? Et beaucoup d’autres encore sur l’histoire du christianisme, tels que Les pères anténicéens, Les pères nicéens et Les pères post-nicéens, ainsi que le traité catholique, Exposé de notre foi.

    Dimanche matin, le 4 décembre 1960, Bill amorça cette série de réunions au Branham Tabernacle en prêchant sur l’Apocalypse, chapitre premier. Il développa soigneusement le contexte ainsi que la raison d’être de la vision de Jean. Le reste de la semaine, il prêcha sur les chapitres 2 et 3, en expliquant un nouvel âge de l’église chaque soir.

    Bill enseigna que c’était Jésus-Christ le véritable auteur du livre de l’Apocalypse ; Jean n’avait que transcrit ce qu’il avait vu lors d’une série de visions reçues pendant les années 95 et 96 de notre ère. Durant ces années-là, Jean était prisonnier à Patmos, une petite île dans la mer Égée près de la frontière entre la Grèce et la Turquie actuelles. Jean avait dit : Je fus saisi par l’Esprit au jour du Seigneur, et j’entendis derrière moi une voix forte, comme le son d’une trompette.6 Bill expliqua que, dans ce contexte-là, le jour du Seigneur ne se référait pas au septième jour de la semaine. Plutôt, le jour du Seigneur évoquait ce moment dans l’histoire de l’humanité où Jésus-Christ vient régner physiquement sur ce monde, accomplissant ainsi Apocalypse 11:15 : Le royaume du monde est remis à notre Seigneur et à son Christ ; et il régnera aux siècles des siècles.

    Dans sa première vision, Jean, qui était un disciple de Jésus, avait vu Jésus-Christ comme il ne L’avait jamais vu auparavant. Jean avait vu Jésus marchant au milieu de sept lampes, tenant sept étoiles dans Sa main droite. Ses cheveux blancs et Son visage étincelaient de pureté, mais Sa langue ressemblait à une épée et Ses yeux étaient comme des flammes de feu. En Le voyant, Jean était tombé comme mort à Ses pieds.

    Le dimanche soir, Bill leur dit : Ce matin, nous avons parlé de la révélation [en anglais, le livre de l’Apocalypse s’appelle La Révélation] de Jésus-Christ. Dieu nous a ainsi révélé que c’était Jésus-Christ qui était la Divinité suprême, le grand Je Suis, en toute circonstance et à jamais. Nous constatons ceci dès le premier chapitre de La Révélation (l’Apocalypse). De quelle révélation s’agit-il? De Jésus-Christ. Et que révèle-t-Il de Lui-même en premier? Il nous révèle qu’Il est le Dieu du Ciel —pas une trinité, mais bien un seul Dieu. Il le dit quatre fois dans le premier chapitre afin d’écarter toute possibilité d’erreur. En premier lieu, vous devez savoir que Jésus n’est pas simplement un prophète. Il n’est pas un dieu amateur ni un dieu secondaire. Il est Dieu! La révélation nous ayant été dévoilée, nous continuerons à l’appliquer ce soir tandis que nous étudierons les sept facettes de Sa personnalité. Puisse Dieu nous aider pendant que nous prêchons ces choses. Je l’ai étudié du point de vue historique avec ma compréhension personnelle, mais attendez un peu que je me tienne derrière cette chaire pour recevoir l’inspiration!

    La plus grande de toutes les révélations c’est que notre Seigneur Jésus-Christ est le Dieu Suprême. Vous ne gagnerez jamais la première manche si vous ne croyez pas cela. Pierre a dit : Repentez-vous, reconnaissez la Divinité, et soyez baptisés au nom de Jésus-Christ pour la rémission de vos péchés, et vous serez prêts à entrer dans l’Esprit.7 Vous devez d’abord et avant tout être au courant de la Divinité de Christ. Jésus a dit : Je suis l’Alpha et l’Oméga. Je suis de A à Z. Il n’y en a pas d’autres que Moi. J’étais dès le début et Je serai à la fin. Je suis Celui qui était, qui est et qui vient — le Tout-Puissant.8 Mais pensez-y donc! C’est ce que la trompette disait. Prends garde, Jean! Tu es entré dans l’Esprit. Quelque chose va sûrement t’être révélée. Et de quoi s’agissait-il? La toute première révélation était que : Je suis l’Alpha et l’Oméga." (Ô pécheur, courbe l’échine, repends-toi maintenant, avant qu’il ne

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