Tentative Lundi 9 février – Naked in the rain

échouée de saisir 22 h 17
sur le vif de Il pleut depuis deux jours environ. Sachant que la
tropicales et moyenne annuelle, en février, s’élève à quatre jours
nocturnes
ha&ebardes... de pluie, nous devrions bientôt avoir atteint le
quota. Ce n’est pas pour rire, la pluie, ici! C’est un
peu comme des moussons! Les nuages sont
menaçants, le vent souffle hardiment, et la
bourrasque toujours guette. Lorsque le rideau
s’abat, c’est avec ardeur fermeté!

Ce qui est amusant est que les réactions sont

contrastées. Bien sûr, l’on se plaint, ci et là, du
climat affreux et du froid insupportable (j’ai même
dû enfiler un pull, aujourd’hui). On vitupère contre
ce climat soooo #eezing! À mon sens néanmoins, il
s’agit-là essentiellement de pantalonnades.

À dire le vrai, c’est une sourde satisfaction qui

bruisse de part et d’autre, le contentement secret
de se sentir vivre autrement que sur le mode de la
cuisson et, surtout, de pouvoir - une fois n’est pas
coutume - s’emmitoufler dans ses vêtements
d’hiver, chausses de laine et autres doudounes
molletonnées. Quant à nous européens, bien sûr,
nous sommes blasés. Nous avons payé pour le
soleil : remboursez!

Mercredi 11 février – Getting better

17 h 48
Le climat s’améliore mais demeure froid. On dirait
qu’il a subi une agression physique, presque un
viol, et qu’il remonte la pente, progressivement. Le
climat a l’air d’être en convalescence.

Anne et moi planifions une excursion ce week-end.

La nature environnant Phoenix est tout
simplement magnifique et nous entendons bien en
profiter un maximum.

Un bus «Orbit» (nous en reparlerons)

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