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PROCLUS LE PHILOSOPHE COMMENTAIRE | SUR LE / PARMENIDE sUIVI DU COMMENTAIRE ANONYME SUR LES VII DERNIERES HYPOTHESES TRADUIT POUR LA PREMIERE FOIS EN FRANCAIS er ACOOMPAGNE DE NOTES, D'UNE TABLE ANALYTIQUE DES PARAGRAPHES & D'UN INDEX ETENDU PAR A.-ED. CHAIGNET RECTRUR HOXORAINE CORRESPONDANT DEL" INSTITET «La Philosophie entire nest autre chose que l'étnde des determinations de Punité. » xox, Philosophie de la Heligion. TOME DEUXIEME PARIS ERNEST LEROUX, EDITEUR 28, RUE BONAPARTE, 28 1901 PROCLUS COMMENTAIRE SUR LE PARMENIDE LIVRE QUATRIEME (suite). § 66. — « Crois-tu done que l'espéce tout entiére, qui est une, soit dans chacun des plusieurs, et comment y sera-t- elle? — Mais, dit Socrate, qu’est-ce qui empéche, Parménide, qu'elle y soit? — Alors, étant une et la méme dans plusieurs choses qui sont séparées, elle y sera cependant tout entiere, et ainsi elle sera séparée d’elle-méme !. » Si Yon n’entend pas corporellement ? l’unité du tout et de Ja partie. mais comme il convient aux espéces intelligibles et immatérielles, on verra que les choses d'ici-bas participent du tout et de chaque partic de leur propre paradigme. Mais puisque celui-ci 4 a 1a fonction de cause, que celles-a viennent de la cause. et que nulle part leg causés ne regoivent la puissance totale de leurs causes, les choses d'ici-bas ne participent pas de lespéce tout entiére. Car comment le sen- sible peut-il recevoir les vies et les puissances de l'espdce? . Comment est-il possible que se produise dans la matiére le caractére uniforme ‘el indivisible de l'espece? Et cependant puisque les choses d'ici-bas gardent le caractére particulier et propre sclon lequel le juste intelligible est dit juste, le beau intelligible est dit beau, selon leur propre puissance et signification, on devrait dire au contraire qu’elles participent dans leur tolalité et non de parties d'elles : ci PROCLUS LE PHILOSOPHE COMMENTAITIRE SUR LE PARMENIDE | PROCLUS. COMMENTAIRF caracte rticulier du beau est partout et dans toutes, mais lellectuellement, kt materiellement, Et il est clair que Par tiapaitions des especes plus parfuites participent plus odes plus eloiumées, que Jes unes en participent selon nd nembre de putissances. les autres selon un Meats eran membre: car le beau en soi est une espeve intellee- attse Viv tiante de la proportion, Done Fespére etee qui Jeet tion se tronye dans tent bean: car vest Keun ea Tatbenter ef propre dela beauté en soi, a avhividuetle participe de sone: spoce intellectuelle. UR pats rte qae ew tere putt ti- ‘le. nest plus hique: car le bean, Bet: Vespece vit toast enters mais I esto semblable ae Pun. iver: 7 dams batt bean. mais dans le eyetrt quelyue chose de tel D pourra dire que ke Lumiere et dans certaines perres po sone Aton . ment. des anes de Fes] oa pie tes mater! ~ ‘ se tenth cpentde oa so Peet pear partie “ tos 3 leurs recent ia vo Shst P eh andre est ve ; apace les che : a des partes os sorte Sadat So SUR LE PARMENIDE. LIVRE QUATHIEME 3 sera @ la fois tout entiére dans plusieurs qui sont sépa- rées »,ce qui est souverainementabsurde. En effet « wl y aura quelque chose qui sera en dehors de lui-méme ». En effet sice doigt ou quelqu’une des choses qui sont dans quelque autre, soit partie corporelle soit puissance, est en méme temps dans plusieurs qui sont séparées, elle sera en dehors et séparée d’elle-méme; car la puissance, qui est dans un sub- ‘strat, sera séparée des substrats et d’elle-méme ; mais si elle est dans les deux, elle ne pourra étre séparée ni de lun ni de l'autre. Or le corps est tout entier dans tel ou tel lieu, et il est impossible qu'il soit dans un autre. Car si on ne nie pas que plusicurs corps puissent étre dans un seul et méme lieu t, il est impossible que le méme soit dans des lieux différents. Il est donc impossible que l’espéce puisse étre corporellement tout entiére dans plusieurs substrats. Et fais-moi bien atten- tion au sens précis et rigoureux des termes: il ne s'est pas contenté de dire ? que partout une seule chose, mais il a ajouté: « et la méme » ; il ne s'est pas contenté de dire: « dans plusieurs », ila ajouté« séparés »; ilne s'est pas contenté de dire « elle sera tout entiére », ila ajouté; « en méme temps »; car il est possible qu'elle soit dans plusieurs sous différents rapports, mais non selon le méme. Au contraire dans les choses qui dépendent les unes des autres, elle sera selon le méme; par exemple : la lumiére immatérielle et divine est a la fois dans te lieu de Yair et dans l'air méme. Puis en- suite, il montre qu'elle ne sera pas tout entiére, mais qu’une partie sera dans une chose, une autre dans l'autre, les deux étanta part l'une de l'autre; et & son tour, qu’ellen’y sera pas en méme temps; car il est possible que la méme chose se trouve dans des choses différentes en des temps différents; et quelle cst une, év: car clle ne sera pas telle si clle est dans quelque chose, mais si elle est dans elle-méme, et alors il est possible qu'elle soit partout, et en toutes également. Et si tu veux voir le fond mystérieux de la vérité, divise le texte de 1 Taylor explique cette proposition singuliére en ajoutant : quum ccrpora cons tant ex immateriali de lumiére et d'une Inmiére immatérielle, comme Procius le dit quelques lignes plus bas,zi Xihov nai Oetoy 9 27. ¥.99. Col, 860. £ PROCLUS. COMMENTAIRE Platon, et représente-toi la chose comme il suit : Puisque les espéces ont primairement leur hypostase dans le paradigme des intelligibles, comme nous I’avons appris dans le Timée!, assurément chacune des especes premieres est et une et étant, tv, et entiére, ddov ; or élant telle, il est possible qu'elle soit ct la méme dans plusieurs séparés et qu'elle y soit en méme temps la méme, mais cela d’une maniére particuli¢re et supérieure, &gznuéves, qui lui permet d'etre et partout et nulle part, d’@tre présente & toutes les choses sans étre méléc & clies, et sans étre soumise 2 la loi du temps, 4zpdvos. Le terme ivsera: ajouté, elle sera dans ?, qui fait lespice élre dans un autre lieu, démontre la parfaite absurdité du raisonnement : c'est pour cela qu'il conclut par indue- lion : « e¢ ainsi elle sera elle-méme en dehor's d’elle-méme ». Car ceci ne se trouve pas dans les premiéres hypothése: savoir que chacune des espéces divines étant en elle-méme* est aussi présente en toutes choses; etce qui cst cause qu'elle n'est pas dans plusieurs, c'est qu'elle n'est pas en elle-méme : car ce qui. par sa nature, est la chose de celui ci, il n'est pas possible qu'il soit la chose d'un autre: voili les arguments de Parménide, Les réponses de Socrate essaient de réfuter ces instances : sont-elles justes ou non, c'est ce que le cours du dialogue montrera ; car il nes‘arrétera pas a ce mode de par- ticipation ; mais il maintient la méme hypothése, quoique Parménide ait cherché, par beaucoup d'objections, a Vébran- ler déja plus haut, par la phrase :«@ moins qu'il n'y ait quelqu'autre participation, outre celles-ci » et plus loin, en ajoutant:: « E¢ comment; » car ces mots ne sont pas ajoulés en vain et amenés par lentrainement habituel de la conve lion: mais ils veulent stimuler esprit qu’on veut accoucher, pour le faire passer a des considérations plus hautes. §.67. «Non pas §, dit-il, sidumoins il en est d'elle commedu We tons os v4, des Ohne, SUR LE PARMENIDE. LIVRE QUATRIEME 3 jour, qui, tout en étant un et Je méme, est cependant en plu- sieurs lieux ala fois, et n'est en rien pour cela séparé davan- lage de lui méme, — si, dis-je, il en est ainsi, chacune des es- péces seraen toutes les choses (qui lui sont subordonnées) en méme temps la méme !. » Socrate croit avoir trouvé quelque chose qui peut étre en méme temps en toutes les choses (qui lui sont subsumées) et quisont séparées les unes des autres; car dans toutes les cho- ses qui sont sous le méme meéridien, qui sont plusieurs et a part les unes des autres, le jour se trouve a la fois le méme et en méme temps le méme. Si donc, maintenant, le bien est analogue au soleil, siles espéces sont analogues au jour eta la lumiére (car elles aussi éclairent I’élément ténébreux de la matiére, et chacune est lumiére comme celle-li est ténébres, et elles sont rattachées a I'un par le fait qu’elles sont suspen- dues a leur principe propre), tu pourras affirmer que image est faitement juste. Mais comme il n'a pas fait attention * quil ne conserve plus le tout présent le méme et un dans Jes plusieurs, sur ee point Parménide reléve son erreur. Car si lon dit que le jour est une partie du temps, il ne sera pas vrai qu'il est présent a toutes choses tout entier : car le point au sommet est, rigoureusement parlant, différent selon les différentes circonstances, et ce point differe. tous les centres seront différents: car c'est par rapport a lui que tout le reste est déterminé ; et si tu définis le jour : Vairrempli de lumiére, celui-ci encore davantage n’est pas tout entier présent en toutes choses, mais il se rap- proche, par différentes parties de lui-méme, de différentes parties de Vespace. Voila donc les objections que Socrate oppose & argument de Parménide. Kt d'abord il est clair qu'il emprunte son exemple a Vargumentation de Zénon: car celui-ci voulant montrer que les plusieurs participent de quelque un et ne sont pas dépouillés de Yun, quand méme ils seraient séparés les uns des autres par une longue distance. a ditdans son discours qu'une seule et unique blaneheur est présente a nous et aux antipodes, comme la nuit et Ie jour. | Parm., 131. b. 27. V. 401. Col. 862, 6 PROCLUS. COMMENTAIRE Toutefois si Socrate a fait usage de I'exemple de Zénon, ce n’est pas afin que ce ne svit pas Zénon qui soit réfuté parson chef d'Ecole, comme ayant pris un exemple qui Ne convient pas & 'hypothése des espéces, mais alin que ce soit Socrate au lieu de Zénon, comme certains l'ont pensé : car qu’est co qui empéchait Parménide, s'il n’était pas satisfait de l'exem- ple, de faire voir plus tot a Zénon cette négligence et de Ia rectifier avant la lecture '. Mais, @ ce qu'il me semble, Zé- non, entendant son exemple de l'espéce matériclle qui, dans la réalité vraic, est un et non un, et participée divisément en tant que subordonnée et n’existant pas par clle-m s'est servi trés correctement et sans s’exposer a étre réfulé, de l'exemple du jour et de la nuit pour cette sorte d'espice. Mais Socrate a tort de s’en servir, parce qu'll l'epplique a Yespéce en soi, a lespéce qui, étant indivisible et une, est & Ja fois présente aux plusieurs. C'est pour cela que Parménido reléve son erreur, parce qu'il ne maintient pas , par cet exemple du jour et dela nuit, Punité et Videntité de l'espice, et qu’au licu de l'indivisible, il produit dans argumentation le divisible, au lieu de l'un ce qui est a Ja fois un et non un; telle que la blancheur qui est chez nous et aux antipodes. En effet nousavons dit précédemment que le but du discours de Zénon n’est pas de remonter a lespéce une des séparables, en faisant voir la contradiction impliquée dans la thése de 1a pluralité, mais de remonter a l'un qui coexiste avec les plu sieurs et qui en est inséparable ; mais Socrate a pos une es- péce autre que celle qui est chez nous, et dont l'hypostase ne saurait étre comme celle du blanc, qui est chez nous et aux antipodes, ct qui est celle que Zénon a comparée au jour et 4 la nuit. Voila comment il faut entendre ce passage. Main- tenant il nous faut examiner le texte, dont la constitution a quelque dificulté Et d’abord il faut lier le lout ensemble par la figure de 'hyperbate *. Car Socrate dit que l'absur dité que signale Parménide ne se produirait pas « Si, ainsi que Vest le jour, chacune des espéces était & la fois en 17. V, 102. Col, 863. 2 Verborum transgressio. Tryphon la définit 2ékis wsraxextvnpivy aa rites. SUR LE PARMENIDE, LIVRE QUATRIEME toutes choses la méme »; il faut deuxiemement ! observer que le: «sé ainsi » doit étre, par Uépanalepse 2, compris comme: «si cette espéce, dont il s‘agit ». Car dans les apodoses , qui sont exprimées par plusieurs mots, les épanalepses sont fré- quentes. Troisiemementle membre de la phrase: « est dla fois en plusieurs choses, tout en étant un ct le méme » quiest pla- cé au milieu, doit étre entendu par la figure de lapostase +, et interprété dans le sens selon lequel :« un seul est en méme temps présent en plusieurs ». Et si l'on entend ainsi le texte, on en verra la beauté, qui nait du membre. intermédiaire par l'apostase, et de l'apodose qui suit, par l'épanalepse. §.68. «Tuas une manic¢re tout a fait ingénicuse', dit-il, mon cher Socrate 5, de faire qu'une scule et méme chose soit a la fois en plusieurs : c'est comme si, étendant un voile sur plu- sieurs hommes, tu disais qu'il est un et tout entier sur les plu- sieurs : n’est-ce pas ainsi que tu l'entends? — Sans doute, dit-il. — Mais est-ce donc que le voile serait tout entier sur chacun des hommes, ou une de ses parties sera t-elle sur l'un @cux, une autre sur un autre? — Une de ses parties? ». Parménide a bien vu le fond de vérité qui est dans les pensées spontanées de Socrate, mais aussi co qu’elles ont d'incomplet et d'inexact : il reconnait l'un et veut le déve- lopper ; mais il veut aussi redresser et compléter lautre. Car puisqu’il a imaginé 1a procession de lespice une en toutes choses et sa présence une partout, pour cette raison, il lui dit qu'il a une maniére tout a fait spirituelle de faire qu'une seule chose soit tout enticre dans plusieurs, en entendant 103. Col, 863. ition, figure appelée par Cornitiems = «4 + Rathhoyia, avadinhon an_redlintegt 140) en cite un uviighat 333 iy Ebi nal avers ty abbot auimuyivy cw somwacoy yupratiy fine railleri dans le mot, 5 its 7. Hy a une 6 Parm,, 131. b, 1 Parm., 131. b. 8 PROCLUS. COMMENTAIRE que le mot : spirituellement |, veut dire : naturellement et ne signifie ni niaisement ni ridiculement. I! part d'une Ame qui se représente en imagination la cause intelligible présente ala fois partout, et qui se tourne déja vers l’entendement et vers ja raison. Car selon la nature de la faculté qu'on met en acte, on comprend que telle cst lanature des ¢tres ; si c’est la sen- sation qu’on met en acte, on admettra que telle est Ja nature des étres, c’est-a-dire divisible et matérielle ; si c’est seule- ment l’entendement, leur nature sera @ Ja fois indivisible ct divisible ; sic’est la raison, leur nature restera uniquement indivisible. Ainsi donc, puisque Socratea exprimé les pensées qui partentdufond de soname, ila déja soupgonné la présence une et complete en toutes choses des espéces intellectuelles: mais comme il n’a pas donné a sa pensée son développement complet, eta congu la présence comme une présence dans Vespace, Parménide le renvoie au voile, ct lui montre qu'il n’est pas unet tout enticr dans plusicurs, mais qu'il cst en communication par ses parties avec les plusieurs. Et il n‘a pas dit: Est-ce quelque chose de tel que tu concois ? Car il connait l'état de grossesse ot il se Lrouve, ella pensée qu'il a formée spontanément sur ce sujet ; mais il lui dit: Est-ce quelque chose de tel que tu veux dire, comme trompé par Vimagination, et concevant une chose et en disant une autre, parce qu’il n’a pas encore pu voir les différentes parties dont se compose sa pensée intéricure. C'est ainsi que pris des deux colés, par ses pensées qui naissent du fond de sun esprit et par les représentations mobiles de son imagination, ila prononeé un mot qui témoigne de ses hésitations ; car le « sans doute » dit quelque chose de semblable ; il ne veut pas en effet affirmer absolument qu’il en est ainsi, parce qu'il est ébranié par sa propre pensée qui est poussée en sens divers a ce sujet, et qu’il ne pout pas renoncer a sa_repré- sentation d’une participation que limagination lui montre dans |’étendue. De 1a vient 1a réponse équivoque qu'il fait a Parménide. Le voila donc poussé a dire que la participation estla participation de parlics des espéces ? et non des espéces 17. ¥. (04. Col. 864, 2T. ¥. 105. Col. 865. SUR LE PARMENIDE, LIVRE QUATRIEME 9 tout enti¢res, parce que Parménide, par un chemin silen- cicux au moyen del'exemple du voile, a cu l'art de l'amener autre partie de la division; c’est pour cela qu'il ajoute comme conclusion : § 69. — « Les espéces en soi, dit-il, mon cher Socrate, sontdone divisibles, et les choses qui en participent, parti- cipent d'une partie d’elles : 'espace n'est pas toute entiére en chacune, mais seulement une partie de chacune. — Il semble que Ja chose est ainsi. — Voudras-tu donc, dit-il, mon cher Socrato, que l'espdce une soit réellement divisée en parties par nous, et qu’elle reste cependant encore une ? — Nulle- ment, dit il». Le second membre dela division montre qu'il n'est pas possible que les choses d'ici-bas participent d'une partie ou de parties des espéces, parce qu'il pose, comme moyen, l'indivisibilité des espéces et par 1a détruit I'hypo- these présentée. Car si les espéces sont indivisibles et sont des monades, comment sunt-clles encore par des parties delles-mémes participées par des choses différentes : par exemple, l'homme, s‘il est un, comment est-il divisé en plu- sieurs ? ct comment chacun de nous est-ildit homme, ct non partie d‘homme, puisque chacun de nous n’a qu'une partic et non le tout de ’homme ? Et si nous sommes séparés les uns des autres, side cet homme ceci est en moi, cela est en toi, cela est encore dans un autre, Ja participation étant congue s’opérant ala maniére d'une chose étendue, comment Vespéce demeurera-t-elle une, puisqu’elle est partagée et ré- partic en nous, qui sommes divisés et séparés les uns des autres ? Ainsi le feu n'est pas un 2, parce qu'une partie de Jui est ici, une autre partie dans un autre lieu: l'eau, sem- Dlablement et aussi lair; ces choses sont divisibles par leur propre nature : 'espéce est indivisible; elles sont pluralité, possédant l'un comme ajouté : l’espéce est quelque chose d'un, enveloppant la pluralité sous la forme de l'unité. Dans les choses divines, c'est de un et de Vhyparxis que la procession 1 Parm., 131. c. 2 TLV. 106. Col, 865.

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