: . : . ..o rcmps,lq-lqmps, quand ma mére me ie permenair prenhre un café dans un ¡'atlais tlal á Ia mode. I'érais, rrés ingénue, limide er froussarde. Un jour, je prenáis ¡¡9n ,r petÍt o quand une main s'est posée sur mes 'noir fesses.'La peur m'a-donné un'e réacrion r.io- lenrc, ma main esr panie á tourc allure vers I'homme qui se rcnhft derriére moi.
Ce n'étaÍr pas tui... J'avais honre, je me suis enfuie. euei-
ques sernaines plus card- ma meiileure arnie m:a donné rendez-vous dans ce café. J'ai re- fusé, bien sür, mais eile insisair nllemenq parlait de I'homme de sa vie, de son furur fiancé. Ma curiosité m'a poussée á Ia rejoindre. I[ y avair deux hommei i, la abte ie fun¡r fiaicé ecson meilleur arni. Je les noüvais ' rnai menr moches. Et puis, i'ai reconnu ceiui oue j'avais glflé - heurer:sémenr ce n écair pai le ft.rn¡r máis I'ami. Il n'a rien dir sl¡r cet épisode, ?
. moi non pius. Il m'a faiu rire nendant der¡x
' - heures, erichainanr les hisroirei dróies er les éclag de rire. Ah I son rire... communicatif. A la fin de I'aprés-midi, je le rouvais rés sédui- sanr Il m'a raccompagnée chez moi. Nous ne nous sommes pius jamais quÍués.,