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tln ¡sur' le.pfünais ffi$n Fetlt n$rr


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Wil.une.m.aiil$'gstposee$urm0$fesses>>

< j'avais 19 ans er un. joli rninois. De


: . : . ..o rcmps,lq-lqmps, quand ma mére me ie
permenair prenhre un café dans un
¡'atlais
tlal á Ia mode. I'érais, rrés ingénue, limide er
froussarde. Un jour, je prenáis ¡¡9n ,r petÍt
o quand une main s'est posée sur mes
'noir
fesses.'La peur m'a-donné un'e réacrion r.io-
lenrc, ma main esr panie á tourc allure vers
I'homme qui se rcnhft derriére moi.

Ce n'étaÍr pas tui... J'avais honre, je me suis enfuie. euei-


ques sernaines plus card- ma meiileure arnie
m:a donné rendez-vous dans ce café. J'ai re-
fusé, bien sür, mais eile insisair nllemenq
parlait de I'homme de sa vie, de son furur
fiancé. Ma curiosité m'a poussée á Ia rejoindre.
I[ y avair deux hommei i, la abte ie fun¡r
fiaicé ecson meilleur arni. Je les noüvais ' rnai
menr moches. Et puis, i'ai reconnu ceiui oue
j'avais glflé
- heurer:sémenr ce n écair pai le
ft.rn¡r máis I'ami. Il n'a rien dir sl¡r cet épisode, ?

. moi non pius. Il m'a faiu rire nendant der¡x


' - heures, erichainanr les hisroirei dróies er les
éclag de rire. Ah I son rire... communicatif. A
la fin de I'aprés-midi, je le rouvais rés sédui-
sanr Il m'a raccompagnée chez moi. Nous ne
nous sommes pius jamais quÍués.,

,?". r I

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